François Bayrou speaks
« Nous appelons les populations à retrouver au plus vite le chemin de la stabilité, de la sérénité et de la visibilité. » a déclaré le Premier ministre.
A peine commencé, le discours reçoit déjà les premières huées. Le chef du gouvernement poursuit. Prenons l’exemple de l’excédent commercial de la Chine, déjà cité dans son discours de politique générale. Et une nouvelle que nous avons apprise hier : la récession en Allemagne.
Déplorant « la crise que nous traversons », il accuse les porteurs de la motion de censure de ne pas vouloir sortir de l’affrontement. « C’est pour cela que les bancs que vous appelez pour vous soutenir sont complètement vides. Vous choisissez la guerre dans notre pays. Vous voulez que la confrontation soit la loi. » insists François Bayrou.
Arrêté par la suite par Yaël Braun-Pivet : « Ce n’est pas un dialogue. Seul le Premier ministre parle » adressée aux députés. La séance, qui a commencé il y a seulement vingt minutes, est déjà très agitée.
