Les joueurs de la LNH sont connus pour travailler dur sur la glace, mais ils aiment aussi se défouler, et faire la fête est pour eux une façon courante de créer des liens et de célébrer. Parmi eux, les joueurs russes ont acquis la réputation d’apporter leur touche personnelle aux festivités.
Que ce soit pendant l’intersaison ou après une grande victoire, les Russes sont connus pour leur amour de la vodka, leurs toasts copieux et leurs rassemblements animés.
Bien que la ligue ait pris des mesures ces dernières années pour promouvoir le professionnalisme et l’équilibre, les histoires de soirées légendaires, impliquant notamment des joueurs russes, font désormais partie du folklore de la LNH.
Ces moments de plaisir et de fête renforcent non seulement les liens au sein de l’équipe, mais mettent également en valeur le côté humain des sportifs de haut niveau, rappelant aux fans que même les pros savent s’amuser.
Kévin Dallman qui était sur le podcast Chiclets crachant, avait beaucoup à raconter sur les joueurs russes avec lesquels il a joué deux saisons dans la KHL.
Il se souvient bien de la saison 2012-2013, lorsque la LNH était confinée et que plusieurs stars russes étaient de retour en Russie.
Whitney : Comment était Kovalchuk là-bas ? Une rock star ?
Dallman : Il l’était. Oh oui. Partout où il allait, ce type. Oh mon Dieu. Pendant le lock-out, nous avions Bobrovsky, Tarasenko, Panarin, Kovalchuk, Kalinin. Nous avions tellement de talent. Ils étaient rois. Ils n’étaient que des rois. Mais les « belles », qui sortaient tous les soirs, s’en foutaient. Oui, ces gars étaient des rois. Mon Dieu, Kovalchuk, c’est toujours une légende.
Bissonnette : En matière d’alcool, à quel point ces Russes étaient-ils plus diligents en dehors de la glace que les Nord-Américains ? Est-ce qu’ils se sont bu pour être malades ?
Dallman : Oui, ils buvaient autant. Il y a un gars avec qui j’ai joué. Ils ont dû lui faire des injections pour l’arrêter avant qu’il sorte. Ils lui ont fait une injection. L’équipe lui a fait une injection dans l’épaule. Je ne sais pas ce qu’ils lui ont donné, mais c’était pour qu’il ne puisse pas boire jusqu’à… tu vois ce que je veux dire.
Articles recommandés :