Chaque nouvelle année apporte son lot de résolutions et de vœux convenus. Seul le temps nous dira lesquels auront lieu, mais il y a fort à parier que le public marseillais progresse encore dans sa culture hockey. Au plus tard ce lundi soir, pour ce réveillon du Nouvel An, il a constaté qu’une pénalité de 2 minutes contre un gardien, en l’occurrence le gardien azuréen Conrad Molder, est exécutée par un joueur de champ et non par le fautif. Dans la foulée, il a assisté à un nouveau but contre son camp lorsqu’un malheureux défenseur niçois a dévié avec son patin le tir d’Alexandre Boivin, et il a rappelé que c’est bien le dernier attaquant à avoir touché le palet qui est crédité du but (3-1, 26e). ). Alors, que nous réserve 2025 ?
Pour les Spartiates, le mot d’ordre sera, sans surprise : « la santé avant tout ». Car lorsque cette équipe est au complet, elle est capable de tout. Et même si c’était moins visible au tableau d’affichage que samedi à Cergy (pour une victoire marseillaise 4-0 au Glassico), les hommes de Luc Tardif ont roulé sur les Aigles de Nice (7-3), faisant dire que la vilaine série de cinq défaites contre des grands noms et avec un effectif réduit était loin derrière eux. Ils s’ancrent à la 6ème place en battant un rival pour les 4 dernières places qualificatives pour les play-offs, où débutera un nouveau championnat.
Da Costa et Dufek s’occupent de tout
Dans ce derby à l’entame musclée, les Marseillais ont visiblement décidé de débuter avec un handicap d’un but, concédant l’ouverture du score après seulement une minute et vingt minutes. Maîtres du palet (et du Palace, plein comme un chapon de Noël empaillé), ils ont vu briller leurs trois recrues d’automne, la prestation cinq étoiles étant assurée à chaque fois par Jan Dufek (plus que jamais le meilleur marqueur de points de la Ligue). ) et Teddy Da Costa, qui a offert le but à Iurii Sergienko (8e) puis Cédric Desruisseaux (15e), puis Yohan Coulaud (37e). L’ancien international français était également de la partie pour le 3e but attribué à Boivin, et il a inscrit le 5e de sang-froid. Monstrueux, à l’heure où les Azuréens revenaient en force, et décisif car après, Joubert et Ruusu ont déclenché le feu d’artifice pour avancer vers 2025 dans la joie et l’allégresse.
