la fin de la « malédiction » du Canada contre les États-Unis ?

la fin de la « malédiction » du Canada contre les États-Unis ?
la fin de la « malédiction » du Canada contre les États-Unis ?

L’équipe canadienne pourra-t-elle se débarrasser de sa « malédiction » à temps pour son duel contre les Américains ? Plusieurs questions demeurent quant au match le plus attendu depuis le début du Championnat du monde à Ottawa, la veille du jour de l’An.

La victoire 3-0 du Canada contre l’Allemagne, dimanche soir, n’a pas effacé tous les doutes quant à la production offensive des représentants de l’unifolié, qui n’avaient marqué que deux buts lors d’une surprenante défaite contre la Lettonie.

Les gens vont regarder cela et dire que ce ne sont pas de bons scores, mais pour être honnête, ce sont de très bonnes équipes.a déclaré Mathieu Catafort, qui a marqué contre les Allemands dans un filet vide. On oublie le bruit extérieur et on se concentre uniquement sur notre groupe, nous avons confiance dans le talent dont nous disposons pour battre n’importe qui.

Nous sommes victimes d’une malédictionrépété David Cameron cinq fois lundi, en marge du jour de congé qu’il a accordé à ses joueurs. L’entraîneur principal avait tenu les mêmes propos la veille, après la victoire contre l’Allemagne.

Appuyant sa tête contre un gant, l’entraîneur-chef du Canada Dave Cameron est flanqué de l’un de ses adjoints Sylvain Favreau lors de la récente séance d’entraînement de son équipe.

Photo : La Presse Canadienne / Justin Tang

C’est la partie la plus excitante de cette équipe : nous n’avons pas cassé. Toutes les équipes ne pourraient pas survivre à une telle malédiction et à la mauvaise presse parce que nous avons perdu un match et bla bla bla… Garder le cap montre du caractèrecontinua le pilote.

Cameron croit fermement que ses joueurs font ce qu’il faut pour réussir offensivement et que le vent tournera à temps pour affronter les champions en titre, les États-Unis, mardi.

Le Canada peut compter sur le meilleur gardien du tournoi. Carter Georges n’a pas encaissé de but depuis deux matchs, après avoir stoppé 56 tirs.

Un duel de vacances classique

Un duel entre le Canada et les États-Unis la veille du Nouvel An est un classique mondial junior auquel tous les joueurs de l’équipe canadienne rêvaient de participer en grandissant.

Gavin McKenna avait huit ans la dernière fois que les grands rivaux se sont affrontés, le 31 décembre 2016.

Ces matchs sont toujours intenses, ce n’est jamais facile pour personne. Cela nous tient toujours en haleinea évoqué la sensation de 17 ans, auteur d’un but depuis le début du tournoi.

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L’attaquant Gavin McKenna (photo d’archives)

Photo : La Presse Canadienne / Sean Kilpatrick

Je vis un rêve d’enfant en ce moment et ça va être la cerise sur la glace, le match contre les Etats-Unisadded Drummondville Voltigeurs forward Ethan Gauthier.

Pour ajouter à la rivalité, le vainqueur du match terminera en tête du groupe A, en raison de la défaite des Américains en prolongation contre la Finlande.

Les États-Unis prêts à affronter la foule

La foule à Ottawa a contribué à faire sentir aux États-Unis qu’ils n’étaient pas les favoris dans la capitale canadienne depuis le début du tournoi.

Gabriel Perreault se souvient d’avoir vécu une situation similaire l’an dernier, en Suède, alors qu’il portait le maillot américain.

Nous pouvons l’utiliser comme motivationa expliqué en français le fils de l’ancien joueur de la Ligue nationale de hockey, Yanic Perreault. Il aura sûrement encore plus de maillots rouges dans les tribunes. Ce sera certainement un bon match, avec beaucoup d’ambiance et une compétition très disputée.

L’attaquant des Rangers de New York croit que son équipe doit réduire les revirements et améliorer le contrôle de la zone neutre pour espérer battre le Canada, qui n’a pas encore accordé de but à cinq contre cinq.

 
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