« Le meilleur match que j’ai pu jouer… » Blair Kinghorn revient sur le match le plus fou de sa carrière, et c’était avec Toulouse

« Le meilleur match que j’ai pu jouer… » Blair Kinghorn revient sur le match le plus fou de sa carrière, et c’était avec Toulouse
« Le meilleur match que j’ai pu jouer… » Blair Kinghorn revient sur le match le plus fou de sa carrière, et c’était avec Toulouse

l’essentiel
L’Ecossais revient sur la dernière campagne toulousaine en Champions Cup et notamment la finale avec un scénario rocambolesque face au Leinster.

Blair Kinghorn a disputé des dizaines de matchs de haut niveau. Que ce soit avec l’équipe d’Ecosse (58 sélections), avec son ancien club d’Edimbourg (142 matches) et bien sûr avec le Stade Toulousain (22 matches), l’arrière possède une vraie expérience dans ce domaine. Mais c’est l’année dernière qu’il a vécu la rencontre la plus folle de sa carrière, six mois après avoir rejoint le club « rouge et noir ».

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C’était en Champions Cup et c’était évidemment le match contre le Leinster, en finale de la compétition. Un scénario complètement fou : 15-15 à la fin du - réglementaire, une prolongation incertaine, un carton rouge pour les Stadistes et une victoire courageuse après un match d’une intensité folle (22-31).

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Pour l’Ecossais de 27 ans qui était le buteur officiel de ce match, c’est un souvenir inoubliable, lui qui n’avait jamais joué de prolongation : « Je me souviens qu’après j’étais très fatigué, rit-il. Nous avons joué plus de 100 minutes, cela n’arrive pas souvent. C’était la première fois que je faisais l’expérience de cela. Je me souviens aussi de l’ambiance au Tottenham Hotspur Stadium. Le stade était fou et honnêtement, c’était peut-être le meilleur match de rugby que j’ai jamais joué : l’ambiance, le jeu, le scénario du match, l’intensité, c’était fou.

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Fou de joie à la fin du match, des images de Kinghorn chevauchant un zèbre (emblème du sponsor principal de la Champions Cup) ont fait le tour du monde du rugby. Interrogé à ce sujet, Kinghorn explique dans un éclat de rire que « le zèbre est au fond de (son) jardin ». Une blague ? Difficile à dire. Mais l’arrière toulousain a déjà hâte de reprendre la compétition, ce sera dimanche 8 décembre contre l’Ulster à Ernest-Wallon.

L’interview complète de Blair Kinghorn peut être lue ici.

 
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