Nouveau rebondissement dans l’enquête, deux traces d’ADN retrouvées

Nouveau rebondissement dans l’enquête, deux traces d’ADN retrouvées
Nouveau rebondissement dans l’enquête, deux traces d’ADN retrouvées

Par Pasquale Perrier

Publié
il y a 2 heures

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Selon une information révélée par RTL ce vendredi 29 novembre, deux traces d’ADN humain ont été retrouvées lors de l’analyse des os et des vêtements d’Émile, disparu le 8 juillet 2023.

Certaines zones d’ombre autour de la disparition d’Emile S, décédé le 8 juillet 2023, commencent à se préciser. Ce vendredi 29 novembre, RTL a dévoilé de nouvelles informations. En effet, lors de l’analyse des os et des vêtements d’Émile, réalisée par le laboratoire d’hématologie médico-légale de Bordeaux, deux traces d’ADN humain ont été retrouvées.

Or, comme l’a révélé RTL, dont l’information a été confirmée par Le Figaroles traces d’ADN dites « dégradées ». En d’autres termes, ils pourraient ne pas être utilisables. « Plus l’ADN trouvé est dégradé, moins nous trouvons de caractéristiques différentes et plus grande est la possibilité de correspondances avec d’autres ADN. » nos confrères détaillent alors. Près de BFMTV, un magistrat, dont l’identité n’a pas été dévoilée, a préféré rester prudent et confiait en octobre dernier que la découverte d’ADN ne signifie pas qu’un coupable a été identifié. Le général François Daoust, ancien directeur de l’Institut national de recherches sur la gendarmerie (IRCGN), a pour sa part précisé que «il y aura nécessairement besoin d’interprétation. Si de l’ADN est trouvé, est-ce en quantité importante ou y a-t-il une ou deux cellules ? Si c’est en quantité importante c’est parce qu’on a une action forte de la part de celui qui a déposé l’ADN. Certaines cellules peuvent cependant faire l’objet d’un transfert. Il faut donc être très prudent car l’ADN est très volatil. »

Mort d’Emile : toutes les hypothèses étudiées pour éclaircir le dossier

Dans un entretien à RTL ce jeudi 28 novembre, Hubert Bonneau, directeur général de la Gendarmerie nationale, a assuré que toutes les hypothèses, accidentelles ou criminelles, sont désormais à l’étude. “Nous n’excluons rien à cet égard. C’est une nouvelle, mais les familles sont derrière. Le travail des gendarmes est donc à l’image du cas de la jeune Lina. Notre travail consiste également à découvrir la vérité afin que les familles puissent faire leur deuil. C’est un devoir que nous avons envers les familles. C’est la chose la plus importante. il a expliqué.

Belgique

 
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