Hervé Marseille craint « de l’instabilité et du désordre » en cas de victoire du RN ou de la gauche

Hervé Marseille craint « de l’instabilité et du désordre » en cas de victoire du RN ou de la gauche
Hervé Marseille craint « de l’instabilité et du désordre » en cas de victoire du RN ou de la gauche

Sur TF1, le sénateur centriste Hervé Marseille craint les « risques extrêmement importants » liés aux élections législatives.

« On peut craindre beaucoup d’instabilité et de désordre », craint le président de l’UDI, estimant que ni « l’extrême droite ni l’extrême gauche ne sont prêtes à gouverner ».

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Élections législatives 2024

08h28

GÉRALD DARMANIN

Le Rassemblement national, par la voix du député Sébastien Chenu, a annoncé lundi vouloir « empêcher » les personnes possédant la double nationalité d’occuper des « métiers extrêmement sensibles » dont la liste sera définie « par décret ». Jordan Bardella a parlé des « positions les plus stratégiques de l’État ». Sur CNEWS ce matin, Gérald Darmanin estime que cette mesure est « assez démagogique ». “Je n’aime pas cette façon de trier les Français”, a-t-il déclaré, regrettant qu’on “fait honte” à des millions de Français avec cette mesure qui “divise la nation”.

Le ministre de l’Intérieur rappelle que des entretiens d’autorisation ont déjà lieu pour les emplois les plus sensibles. « Nous regardons leur faiblesse : cela pourrait être la double nationalité mais cela pourrait aussi être, par exemple, l’argent. Nous ne donnons pas d’autorisation en cas de doute», explique-t-il. Pour Gérald Darmanin, « le problème, c’est que Jordan Bardella n’est pas prêt pour le pouvoir » et qu’il « dit n’importe quoi à tout moment ».

08h21

MARINE LE PEN

Sur RTL ce matin, Marine Le Pen réitère la promesse du Rassemblement national de ne pas augmenter les impôts. « Le niveau des impôts est aujourd’hui insupportable pour les Français », estime le député RN. “Il y a deux manières de redonner du pouvoir d’achat aux Français : soit baisser les impôts, soit réduire les dépenses restreintes”, explique l’ancien candidat à la présidentielle. Elle poursuit : “Nous avons fait le choix lors de la présidentielle d’agir pour réduire les dépenses obligatoires, ce que veut aussi faire Jordan Bardella, y compris dans sa mesure d’urgence de juillet.”

Programme RN : « Pas d’augmentation d’impôts »Source : Infos TF1

08h11

Entretien politique : Hervé Marseille, sénateur des Hauts-de-Seine et président de l’UDISource : Infos TF1

07h59

“DÉSORDRE”

Sur TF1 ce matin, le sénateur centriste Hervé Marseille craint les « risques extrêmement importants » liés aux élections législatives. « On peut craindre beaucoup d’instabilité et de désordre », craint le président de l’UDI, estimant que ni « l’extrême droite ni l’extrême gauche ne sont prêtes à gouverner ».

« On voit bien que la France est appelée à aller vers le désordre si les électeurs devaient choisir (NDLR : le RN ou le Nouveau Front populaire) », poursuit Hervé Marseille, avant d’ajouter : « On va vers l’inconnu et le désordre. ».

07h50

HERVÉ MARSEILLE

Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard s’affronteront ce mardi soir sur le plateau de TF1, à cinq jours du premier tour des élections législatives à suspense. Le Premier ministre, le président du Rassemblement national et le coordinateur de La France insoumise se retrouveront à 21 heures pour ce premier grand affrontement télévisé entre les trois blocs.

Sur Bonjour ! La Matinale TF1 ce matin, le sénateur centriste Hervé Marseille estime que “l’intérêt de ce débat est de clarifier la situation, de clarifier les enjeux et de dire aux Français ce qu’on attend d’eux”. Pour le président de l’UDI, “les Français ont du mal à se retrouver dans les candidatures et dans les programmes, ça change tous les jours”.

07h05

BONJOUR

Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré toute la journée à l’actualité politique en France, à cinq jours du premier tour des élections législatives.

Lundi 24 juin, Emmanuel Macron s’en est pris frontalement à ses rivaux, à six jours des élections législatives. Dans une nouvelle prise de parole, avec le podcast « Génération Do It Yourself », le président de la République ne mâche pas ses mots en direction du Rassemblement national et de La France insoumise. “La réponse de l’extrême droite” en termes d’insécurité : « parce que cela renvoie les gens à une religion ou à une origine, c’est pour cela que cela divise et pousse à la guerre civile », il a dit. Et ci-contre, LFI propose « une forme de communautarisme », “mais c’est aussi la guerre civile derrière tout ça”.

Dans le sprint final du premier tour de campagne dimanche, la bataille verbale entre les trois principaux blocs atteint un nouveau niveau, alors qu’ils s’apprêtent à s’affronter mardi soir sur le plateau de TF1 lors d’un débat entre le Premier ministre Gabriel Attal, le coordonnateur de LFI Manuel Bompard et Jordan Bardella.

L’eurodéputé RN a tenu dans la matinée une longue conférence de presse pour tenter de mettre les points sur les “i” de son programme après une semaine d’incertitude durant laquelle son camp avait semblé revenir sur plusieurs de ses mesures phares, en premier lieu l’abrogation de la réforme des retraites. . A ce sujet, Jordan Bardella a réitéré sa volonté de donner la priorité aux carrières longues dès l’automne : « Les Français qui ont commencé à travailler avant 20 ans et qui ont accompli 40 ans de service pourront prendre leur retraite à 60 ans ». Il a également promis « un big bang d’autorité » dès la rentrée scolaire de septembre avec l’interdiction du téléphone portable dans les collèges et lycées, le « vouvoiement » obligatoire pour les enseignants voire la poursuite de l’expérimentation de l’uniforme “à l’école primaire, mais aussi au collège”.

A gauche, Jean-Luc Mélenchon a vu la pression monter autour de lui avec l’appel quasi simultané de ses trois alliés de gauche – PCF, Écologistes, Parti Socialiste – à favoriser le “consensus” de désigner le candidat du Nouveau Front populaire pour Matignon en cas de victoire. Le fondateur de La France insoumise “n’est pas le leader du Nouveau Front Populaire et il ne sera pas Premier ministre”a déclaré la patronne des Écologistes, Marine Tondelier, à l’AFP.

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En réponse, sur France 2, l’intéressé a continué de ne pas vouloir fermer définitivement la porte à Matignon, sans vouloir pour autant la forcer. “Je ne suis candidat à rien (…) Je peux parfaitement être ministre parmi d’autres ou ne pas être ministre du tout”, a-t-il assuré. Mais, “Je suis un atout”il a également estimé, ajoutant que “un programme nécessite des personnes qui ont de l’expérience et du caractère”.

L’étude Ifop-Fiducal publiée lundi par LCI et TF1info révèle que les candidats soutenus par le parti d’extrême droite recueillent 36% des intentions de vote (+0,5). Ils creusent encore un peu l’écart avec le Nouveau Front populaire, même si la liste avance avec des intentions de vote à 29,5% (+0,5%), une première hausse depuis jeudi 20 juin. Le camp présidentiel recule encore, avec un demi-point de moins. par rapport à dimanche, et recueille 20,5% des intentions de vote sous la bannière Ensemble. Selon notre enquête, le RN obtiendrait entre 220 et 260 sièges, contre 185 à 215 pour le NFP. Le camp présidentiel ne disposerait que de 70 à 100 sièges.


La rédaction de TF1info

 
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