« La France prend acte de cette décision. Fidèle à son engagement de longue date en faveur de la justice internationale, elle rappelle son attachement au travail indépendant de la Cour, conformément au Statut de Rome », écrit le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué.
La France a déclaré vendredi qu’elle prenait note de la décision de la Cour pénale internationale (CPI) d’émettre un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
“Pas un jugement mais la formalisation d’une accusation”
« La France prend acte de cette décision. Fidèle à son engagement de longue date en faveur de la justice internationale, elle rappelle son attachement au travail indépendant de la Cour, conformément au Statut de Rome », écrit le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué. “Il ne s’agit pas d’un jugement mais de l’officialisation d’une accusation”, ajoute le ministère.
Benjamin Netanyahu et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant font l’objet de mandats d’arrêt de la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité qui auraient été commis dans la bande de Gaza.