combien coûte le gaz ce vendredi 22 novembre 2024 ?

combien coûte le gaz ce vendredi 22 novembre 2024 ?
combien coûte le gaz ce vendredi 22 novembre 2024 ?

La cotation EEX PEG (Gas Exchange Point) pour les contrats à terme concerne la référence de prix du gaz naturel négocié en Europe sur le marché de l’électricité EEX (European Energy Exchange). Les contrats sont classés en fonction de leur échéance, qui comprend les contrats mensuels (M+1), trimestriels (T+1) et annuels (Y+1). Ces cotations sont cruciales pour les acteurs du marché qui cherchent à gérer les risques de prix ou à spéculer sur les mouvements futurs du marché du gaz.

Prix ​​fixe au 20 novembre 2024

Contrats M+1 (Mensuel Ahead)

  • Prix ​​au 20/11/2024 : 48.126 €/MWh
  • Evolution des 30 derniers jours : Ces contrats ont connu une fourchette de prix allant de 39 092 €/MWh à 48 126 €/MWh, illustrant une volatilité importante. Cette variation est souvent influencée par des facteurs saisonniers ou des événements géopolitiques affectant le marché des matières premières.

Contrats Q+1 (Trimestriel à venir)

  • Prix ​​au 20/11/2024 : 47.868 €/MWh
  • Evolution des 3 derniers mois : Le prix a oscillé entre 35 283 €/MWh et 47 868 €/MWh, atteignant son pic le 19 septembre 2024. La stabilité générale de ce type de contrat laisse présager des attentes d’équilibres saisonniers ou de stockage conséquent.

Contrats N+1 (année à venir)

  • Prix ​​au 20/11/2024 : 45.182 €/MWh
  • Evolution des 12 derniers mois : La variation est passée de 26 616 €/MWh à 45 182 €/MWh, avec un pic le 23 février 2024. Cette évolution sur le long terme reflète l’impact des nouvelles politiques énergétiques et des investissements dans les énergies renouvelables, modifiant la demande structurelle de gaz.

Résumé des développements

Les fluctuations observées dans les prix des différents contrats gaziers démontrent une volatilité inhérente au marché de l’énergie. Les contrats à court terme ont notamment présenté une plus grande variabilité par rapport aux attentes, comme le montre les spreads importants à 30 jours pour les contrats M+1. Les ajustements à moyen terme pour les contrats Q+1 reflètent une réaction aux conditions de marché actuelles et prévues, tandis que les tendances à la baisse pour les contrats N+1 correspondent à un cadre de prix de l’énergie à plus long terme influencé par la transition énergétique globale.

Implications pour les entreprises

Les variations calculées des prix contractuels du PEG fournissent des informations vitales pour les entreprises qui cherchent à contrôler leurs coûts énergétiques. Les professionnels de l’énergie et les planificateurs budgétaires doivent surveiller ces tendances pour minimiser leur exposition aux risques de taux et ajuster leurs stratégies d’approvisionnement en fonction des prévisions du marché.

En résumé, comprendre la cotation de l’EEX PEG est essentiel pour naviguer efficacement sur le marché de l’énergie et planifier des politiques d’achat durables et économiquement viables.

Type de contrat Prix ​​au 20/11/2024 Évolution Gamme de prix Facteurs influents
M+1 (mensuel à venir) 48.126 €/MWh 30 derniers jours 39.092 €/MWh à 48.126 €/MWh Facteurs saisonniers, événements géopolitiques
Q+1 (trimestriel à venir) 47.868 €/MWh les 3 derniers mois 35.283 €/MWh à 47.868 €/MWh Anticipations des soldes saisonniers, stockage
Y+1 (année à venir) 45.182 €/MWh les 12 derniers mois 26.616 €/MWh à 45.182 €/MWh Nouvelles politiques énergétiques, investissements dans les énergies renouvelables
Résumé des développements
Les fluctuations des prix témoignent de la volatilité du marché de l’énergie, avec une plus grande variabilité pour les contrats à court terme et des ajustements à long terme reflétant la transition énergétique.
Implications pour les entreprises
Les changements dans les prix du PEG sont cruciaux pour contrôler les coûts et ajuster les stratégies d’approvisionnement en réponse aux prévisions du marché.
 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Quelle direction prend l’urbanisme et l’habitat à Acigné ?
NEXT Kyiv cible pour la première fois la Russie avec des missiles britanniques à longue portée