Il avait retiré son pénis pour éteindre un incendie, un jeune homme jugé pour exhibition sexuelle et outrage

Il avait retiré son pénis pour éteindre un incendie, un jeune homme jugé pour exhibition sexuelle et outrage
Il avait retiré son pénis pour éteindre un incendie, un jeune homme jugé pour exhibition sexuelle et outrage

Le 13 janvier, vers 23h30, il avait déjà consommé une bouteille de vodka lorsque son groupe d’amis a été rejoint par une patrouille de la police municipale au city stade du quartier Beutre de Mérignac. Un incendie avait été allumé, rapidement éteint par les policiers. L’histoire aurait pu s’arrêter là.

Il admet qu’il a un « mauvais alcool ». C’est pour ça que je ne bois pas. Sinon, à chaque fois, je n’arrive pas à m’arrêter ni à me contrôler », déclare-t-il dans une incohérence totale.

Mais le feu a repris et les agents sont revenus. Là, s’estimant perturbé, l’accusé s’est mis en colère tandis que ses amis tentaient de le raisonner. Il a baissé son pantalon et, les parties génitales exposées, a crié qu’il allait éteindre le feu. Rhabillé, il revient à la charge puis est arrêté. Non sans bousculades, crachats et insultes envers les policiers.

Mauvais alcool

Placé en garde à vue, il a de nouveau baissé ses sous-vêtements. Le prévenu reconnaît cette deuxième exhibition sexuelle, mais pas la première. “J’ai dit que j’allais lui pisser dessus pour éteindre le feu, mais jamais de ma vie je ne montrerai mon sexe dans la rue”, se défend-il, niant l’évidence.

Il admet qu’il a un « mauvais alcool ». C’est pour ça que je ne bois pas. Sinon, à chaque fois, je ne peux pas m’arrêter ou me contrôler », dit-il de manière incohérente. Quoi qu’il en soit, je prends soin de moi. » Déjà condamné à plusieurs reprises, il explique avoir « arrêté les conneries ». Il travaille et sa compagne est enceinte.

“Il se réfugie derrière les propos de quelqu’un qui a trop bu, mais son comportement inacceptable et intolérable reflète son mépris total”, résume M.e Guillaume Sapata, qui défend les agents municipaux indignés. La vice-procureure Sylvie Rodrigues rappelle que « son état d’ébriété était tel que son taux d’alcoolémie ne pouvait être mesuré car il buvait en cellule ».

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV manque de motivation, incertitudes, réserve de voix… Le Front républicain est-il mort ? – .
NEXT Prix ​​du gaz, démarque inconnue, nouveau plan d’économies… Ce qui change au 1er juillet