Et dire que c’est le sumo qui a inauguré la vidéoassistance ! – .

Et dire que c’est le sumo qui a inauguré la vidéoassistance ! – .
Et dire que c’est le sumo qui a inauguré la vidéoassistance ! – .

Plus que jamais, le sport se retrouve aux prises avec les crocs de la révolution technologique. Dans le football, le VAR dicte désormais sa loi et fait de l’arbitre de terrain une marionnette de la technologie. Au tennis, les dernières heures des juges de ligne sont déjà programmées. A partir de 2025, les tournois seront équipés d’un système automatisé qui décidera, en temps réel, si une balle est bonne ou non. Et ainsi de suite, dans la plupart des disciplines. Demain, la notion même d’arbitre humain pourrait disparaître avec la robotisation croissante et le recours à l’intelligence artificielle. Il appartient à chacun d’évaluer, en son âme et en sa conscience, si cette évolution contribue ou non à une plus grande équité sportive.

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Il est en tout cas amusant de constater que c’est dans les compétitions de sumo – discipline ancestrale japonaise – que l’arbitrage vidéo a fait ses débuts. En 1969, un combat suscite de nombreuses polémiques et l’utilisation du ralenti télévisé confirme une erreur de jugement. Dès le tournoi suivant, l’assistance vidéo a été utilisée. Cela n’a pas empêché la survie sur les doyos des gyojis, ces arbitres parés d’un prestigieux uniforme de cérémonie. Il n’est pas sûr, à l’heure des drones, des yeux de faucon et des caméras de dernière génération, que le culte de la tradition suffise à sauvegarder la présence du corps arbitral dans d’autres pays et d’autres sports !

 
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