Neymar s’est de nouveau blessé pour Al-Hilal contre Esteghlal en Ligue des champions asiatique. Peu avant le début de ce match, un événement a attiré l’attention des supporters et des médias brésiliens…
Neymar n’en peut plus… Alors que le Brésilien comptait reprendre des forces après sa grave blessure au genou, il a de nouveau dû composer avec une blessure, cette fois à la cuisse face à Esteghlal en Ligue des champions asiatique. Le Brésilien manquera près d’un mois de matches et Al-Hilal se demande si le contrat de Neymar devra être résilié l’hiver prochain. En attendant, l’ancien du PSG ou encore du Barça doivent aussi gérer d’autres polémiques à son sujet. Avant le match contre Esteghlal, une vidéo circulait sur les réseaux sociaux dans laquelle certains affirmaient que Neymar avait été volé par un supporter présent alors que l’international auriverde lui faisait un high five.
Neymar dément totalement cette rumeur embarrassante
Selon la presse brésilienne, l’ancien joueur de Barcelone et du PSG portait une bague d’une valeur d’environ 14 000 euros dès son entrée sur le terrain de la Kingdom Arena de Riyad. Un objet qui aurait ensuite été volé par un fan malveillant (vidéo ci-dessus). Les images sont assez troublantes, car on voit l’ancien joueur du PSG lui tenir la main quelques instants, puis se retourner avec un air quelque peu décontenancé et déçu. Mais Neymar a démenti cette rumeur embarrassante en déclarant : « Ils deviennent fous ! » Il y a eu trois fausses nouvelles cette semaine. Ils répandent des mensonges. Cela rend les choses plus compliquées. Difficile… c’est dommage que le Brésil me traite ainsi.”. Rien pour arranger la situation entre le pays sud-américain et Neymar. Ce dernier est de plus en plus critiqué pour son comportement, son déménagement en Arabie Saoudite et son incapacité à remporter la sélection. On rappelle que l’ambition de Neymar est de participer à la prochaine Coupe du Monde, qui aura lieu en 2026 aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique. L’occasion pour lui d’adresser un message à ses détracteurs.