L’activité de construction est en forte baisse dans la région. Peu de nouvelles constructions mais la filière bois résiste. On en parle avec Christian Kibamba, de l’association Fibois Grand Est.
Quel avenir pour la maison en bois ? Le marché de la maison individuelle ralentit, mais l’avenir de la construction bois n’est pas forcément sombre, selon Christian Kibamba, prescripteur bois chez Fibois, une association qui défend les intérêts de la filière bois.
La filière bois observe également le ralentissement de la construction, selon Christian Kibamba : « la construction de maisons individuelles en bois diminue, mais la construction d’autres bâtiments en bois semble tenir le coup, surtout grâce à la construction publique « . La législation favorise l’utilisation du bois dans la construction, ce qui permet de maintenir l’activité dans ce secteur.
« Les perspectives restent bonnes pour le secteur tertiaire porté par la commande publique », précise Christian Kibamba avec un secteur prêt : « il faut apporter des réponses aux inquiétudes et régler la question des surcoûts car c’est encore 5 à 10 % plus cher ».
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