Chaque candidat présente une mesure qu’il porterait
Manon Aubry (LFI) propose l’indexation des salaires à l’inflation au niveau européen, inspirée du modèle belge.
La candidate Valérie Hayer de Renaissance souhaite que nous “investir de l’argent pour que nous puissions développer d’ici dix ans un vaccin contre le cancer, le premier traitement contre la maladie d’Alzheimer ou de Charcot, qui touche toutes les familles.”
Raphaël Glucksmann (PS-Place publique) déclare « Ce que nous proposons, c’est un plan Marshall pour le logement abordable. (…) Ce soir, en Europe, il y a 800 000 personnes qui dormiront dehors.»
“Je défends une mesure, la fin des règles de tarification de l’énergie au niveau européen”, fait valoir Jordan Bardella (RN). Une manière, selon lui, pour les Français de payer moins cher, grâce à leur réseau nucléaire.
Marion Maréchal (Reconquête !) déclare que« Il existe une menace commune qui pèse sur le continent européen, c’est l’islamisme, l’islamisation. Cette semaine encore, il y a eu une attaque au couteau en Allemagne et une tentative d’attentat déjouée à Saint-Etienne. (…) Je crois qu’il est grand temps de s’éloigner de la naïveté et de la duplicité. Demain, au Parlement européen, je veux interdire ces courants, ces confréries, sur le modèle de ce qui se fait en Autriche.»
Léon Deffontaines (PCF – Gauche unie) souhaite se concentrer sur les services publics, qu’il juge en déclin “à cause des règles européennes”. “Je souhaite que nous réinvestissions massivement dans nos services publics, pour offrir une éducation de qualité à nos jeunes, ou les lignes de train du quotidien.”
«Je voudrais essayer de baisser les prix des choses qui sont bonnes pour la santé, bonnes pour notre planète, et cela ne peut se faire qu’au niveau européen. Des couches fabriquées en Europe ? 0 TVA au niveau européen. jean en coton. Encourager la réparation des appareils électroménagers… »souligne, de son côté, Marie Toussaint (Les Ecologistes).
Enfin, François-Xavier Bellamy (Les Républicains) souligne que « Le grand sujet aujourd’hui, c’est ce qui nous empêche d’être efficaces. L’Europe s’enlise dans les normes, les règles (…) Pour qu’un médicament soit mis sur le marché, il faut un an et demi de plus en Europe qu’aux Etats-Unis, et encore un an pour la France, (…) qui impose même des règles plus compliquées.
