L’entraîneur du DFCO Baptiste Ridira s’est exprimé avant la réception du FC Rouen ce vendredi 1er novembre dans le cadre de la 11ème journée de National.
« Rouen est une équipe joueuse de par l’ADN de son entraîneur et ses inspirations, et le profil des joueurs. Ils ont des profils de joueurs de ballon plutôt dynamiques dans leur mobilité entre les lignes. Ce sont des joueurs qui aiment posséder le ballon et jouer avec. Personnellement, je pense que c’est une philosophie qui peut nous convenir, en ne se concentrant pas uniquement sur l’aspect athlétique et dans un match basé uniquement sur les duels. Cela peut être un match agréable, du moins pour les spectateurs, dans la possession des deux équipes et dans le contenu.
J’ai tendance à faire le point en décembre. Je n’ai pas le sentiment qu’il faille encore tirer des conclusions car nous n’avons jamais été dans la configuration dans laquelle nous avons commencé à être pendant deux matches : être avec tout le groupe, avec toutes les forces en présence, avec la possibilité de faire des choix forts ou des choix réels par rapport à la main-d’œuvre. Pour moi, nous entamons un nouveau cycle jusqu’en décembre. Ce que je retiens du premier cycle, c’est le projet de jeu que nous avons réussi à mettre en place en termes de fonctionnement, de compréhension et de qualité des contenus. Ce que nous avons vu lors des derniers matches en témoigne. Et aussi en termes d’état d’esprit. Je trouve qu’on a une équipe qui représente ce qu’on recherchait avec la nouvelle direction : un club avec des valeurs, avec une sorte de dévouement envers l’entité. On retrouve cela sur le terrain. Alors oui, on ne fait pas tout bien et on a perdu des matchs, mais ces deux piliers sont des bases solides qui vont nous permettre d’aller un peu plus loin dans ce deuxième cycle jusqu’à fin décembre et quand je parle de cycle je mets à la fois le championnat et la coupe dedans car il y a un réel enjeu à pouvoir continuer dans les deux compétitions jusqu’au 21 décembre.«
Source: DFCO
Les derniers articles de Frédéric Sougey (voir tout)