Open Jaw Québec a répondu à l’invitation d’Azamara Cruises de participer à une « inspection du navire », l’Azamara Journey, lors de son escale à Montréal jeudi dernier pour embarquer des passagers.
Comment ça va? Que faisons-nous ? Que voit-on ?
Et surtout : fait-on vraiment une « inspection » ?
” Éducation. Éducation. Éducation. »
Entre la terrasse de la piscine et le bar lounge avec vue sur la proue, nous avons demandé à Katie Gerhard, vice-présidente associée des ventes pour l’Est du Canada chez Azamara Cruises, qui nous a accompagnés lors de la visite :
« Éducation. Éducation. Éducation. Une inspection du navire fait partie de la formation que nous proposons aux conseillers en voyages et aux grossistes sur nos produits. C’est une opportunité qui nous permet de montrer la différence entre un produit Azamara et les autres produits du secteur des croisières.
« Monter à bord d’un navire pour une visite, c’est aussi l’occasion de ressentir l’ambiance, de voir comment ça se passe à bord. »
-« Offrez-vous toujours un repas aux gens de l’industrie qui participent à l’une de vos inspections de navires ? » avons-nous demandé.
-« Bien sûr! Il faut nourrir les gens ! » répondit Katie avec un sourire joyeux. ” C’est aussi l’occasion de leur faire goûter le menu du bord. »
Notre vécu de l’expérience nous amène en effet à constater que pouvoir s’asseoir, c’est pouvoir tester le menu à bord, mais aussi le service. Cette opportunité, lorsqu’elle se présente, permet de démontrer le potentiel et les notions de savoir-faire du ou des dirigeants et du staff.
Mettre fin à l’ambiguïté terminologique
Ceci étant dit, reconnaissons que nous aimons parfois, dans notre industrie, utiliser des formules verbales larges. Dans le sujet qui nous intéresse actuellement, qu’il s’agisse d’Azamara Cruises ou d’autres compagnies de croisières, l’utilisation du mot « inspection » peut se traduire par une aventure inachevée pour les conseillers et grossistes les plus ambitieux.
Sans minimiser l’aspect intéressant et la belle opportunité de l’exercice pour tout vendeur de croisières, précisons néanmoins qu’il s’agit d’une visite rapide, principalement des espaces publics, qui est soumise à certaines limitations, même si parfois elle est pour de bonnes raisons. , comme ici : comme l’Azamara Journey avait un taux d’occupation de 100%, il nous était impossible de visiter une cabane.
Le détail qui veut tout dire
En conclusion de notre humble analyse de cette « inspection des navires », nous pensons qu’un tel exercice vaut son pesant d’or pour cela : observer, sur place et en direct, qui sont les clients à bord, quel est leur profil et son âge. groupe.
C’est une information qui nous paraît très précieuse, et qui ne ment pas lorsque nous y sommes. Car il faut souligner que la clientèle à bord est un indicateur notable de l’ambiance à bord, pour un type d’itinéraire donné, à une date donnée (peut-être que le même navire accueille une toute autre clientèle en juillet dans une autre région de la planète) .
En route pour quitter l’Azamara Journey après notre succulent repas bien arrosé, nous avons discrètement salué les passagers, de paisibles retraités qui se racontaient tranquillement leur journée d’automne passée dans les rues de notre bon et beau Vieux-Montréal.
Pour connaître les prochaines inspections des navires avec Azamara Cruises, la compagnie vous conseille de consulter sa newsletter.