“Notre maison, personne ne la prend !”, déclare Maxime Hervoir après la victoire de Toulouse contre le Plessis-Robinson

“Notre maison, personne ne la prend !”, déclare Maxime Hervoir après la victoire de Toulouse contre le Plessis-Robinson
“Notre maison, personne ne la prend !”, déclare Maxime Hervoir après la victoire de Toulouse contre le Plessis-Robinson

l’essentiel
L’attaquant-receveur Maxime Hervoir s’est réjoui de la séquence d’invincibilité de son équipe à domicile après le succès des Spacer face au Plessis-Robinson hier soir (3-1).

Maxime, les deux premiers sets (25-20 et 25-13) sont peut-être vos deux meilleurs depuis le début de la saison. Comment avez-vous vécu ce qui ressemblait à une manifestation ?

Le Plessis était vraiment en difficulté et il fallait juste les forcer à jouer sans trop forcer sur le service notamment. Nous avions un très bon bloc défensif et nous avons dû l’utiliser, les mettre en difficulté, et c’est ce que nous avons réussi à faire.

Alors que vous sembliez vous diriger vers un succès facile, comment expliquer ce troisième set complètement raté (17-25) ?

C’est un problème récurrent depuis le début de la préparation : on a du mal à rester régulier tout au long d’un match. Nous y travaillons. Là où je suis fier de nous, c’est qu’on a su réagir dans le quatrième set (25-21). Même si tout n’a pas été parfait, comme on l’a dit, nous sommes quand même sortis de ce match en confiance.

Duflos-Rossi et Ferral ont une nouvelle fois prouvé que les jeunes pouvaient apporter quelque chose à cette équipe. Est-ce forcément rassurant pour la suite ?

C’est une vraie victoire d’équipe. Je suis MVP (12 points) car j’ai été peut-être le plus régulier mais ce qu’il faut retenir avant tout c’est que chacun a apporté sa part.

Vous rejouez vendredi contre Saint-Nazaire, pas trop dur ?

Nous avons un protocole de reprise et nous allons y travailler. On ne s’entraîne pas, on joue juste mais pour être honnête, nous, les joueurs, préférons ça (il sourit) !

Vous allez recevoir le champion de au sortir d’une série de huit victoires consécutives au Palais des Sports : est-ce forcément bon pour la confiance ?

C’est chez nous comme on dit. Et personne ne prend notre maison. Personne ne rentre à la maison et n’en sort indemne (sourire). Le public nous soutient à fond depuis la saison dernière et c’est quelque chose qui nous tient à cœur. C’est grâce à eux que nous puisons cette force. Nous aimons jouer à domicile et c’est pourquoi nous sommes si difficiles à battre ici.

France

 
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