C’est avec une émotion palpable que l’événement a débuté à 16h30 à Uccle, au domaine Latour de Freins. Le CCOJB, BringThemHome Belgium et le Forum der joodse organizaties (FJO) figuraient entre autres parmi les organisateurs de cette cérémonie « citoyenne et apolitique ».
La libération des otages israéliens toujours détenus à Gaza, un espoir qui s’amenuise de jour en jour
« Le 7 octobre 2023, des milliers de terroristes du Hamas et d’autres groupes islamistes sont entrés en Israël et ont massacré, torturé, violé et mutilé des habitants des communautés frontalières de Gaza et des jeunes participant à un festival de musique, entraînant la mort de plus de 1 200 victimes civiles. et blessant des milliers de personnes marquées à vie », ont soutenu les organisateurs.
Ce jour-là, quelque 251 otages israéliens – de tous âges et de toutes nationalités – ont été kidnappés par le Hamas. Selon les organisateurs, « 101 otages sont encore détenus aujourd’hui, dont deux jeunes enfants, 14 femmes et 11 personnes âgées ».
Pour le gouvernement israélien, chaque nouvel otage retrouvé mort est un nouvel échec
« Si l’on sait qu’une trentaine d’entre eux sont morts, on sait que les otages vivants sont détenus dans des conditions inhumaines : pression psychologique, mauvais traitements, viols, malnutrition, privation de médicaments », soulignent les organisations.
Après avoir observé une minute de silence, les participants ont participé à des discours et autres chants. Le père d’Alon Nimrodi, otage toujours détenu à Gaza, était également présent. Fortement ému, il est revenu sur l’importance de continuer à se mobiliser, aux côtés d’Israël, « aussi longtemps que nécessaire ».
