un malentendu autour d’un vieux fusil le conduit en garde à vue

un malentendu autour d’un vieux fusil le conduit en garde à vue
un malentendu autour d’un vieux fusil le conduit en garde à vue

Un passionné de brocante qui venait d’acheter un pétard ancien a provoqué la peur chez ses voisins et une intervention rapide de la police.

“C’est la première et la dernière fois que j’achète une arme, c’est sûr.”» dit l’amateur de brocante.

Le 25 septembre, les policiers du commissariat d’Alès ont été alertés par des riverains du quai Boissier-de-Sauvages d’un homme armé à proximité des locaux du Conseil départemental. Entre la psychose liée aux armes à feu en général, le contexte sécuritaire, la police réagit rapidement et déploie un important dispositif de sécurité. La circulation a été brièvement stoppée sur l’avenue par les policiers municipaux alors qu’ils intervenaient dans l’appartement du suspect.

Un vieux pistolet à silex provoque la panique dans le quartier

Finalement, l’homme, qui n’était en aucun cas un terroriste ou un membre du crime organisé et n’avait aucune intention de nuire à qui que ce soit, a fini par être menotté. Placé en garde à vue, il a été conduit au commissariat.

Fan de belle mécanique américaine, puisqu’il conduit des Cadillac et des Buick, le collectionneur venait d’acheter un vieux pistolet à silex. « J’ai trouvé l’objet intéressant, je l’ai acheté chez un ami antiquaire. Tout était clair. Cette histoire n’est qu’un énorme malentendu mais j’ai quand même passé sept heures en garde à vue. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Heureusement, j’ai ouvert la porte, sinon ils m’auraient menotté. . J’ai été pris pour un dangereux criminel. En fait, j’étais chez moi et je voulais observer en détail ce que je venais d’acheter. Je suis sorti sur le balcon pour le regarder à la lumière naturelle. Cette scène a suffi à déclencher une véritable panique dans le bâtiment.

L’examen rapide de l’arme a montré qu’elle ne représentait aucun danger. Le vendeur, antiquaire de la région, a également été interrogé. Son casier judiciaire parfaitement rempli a satisfait les autorités judiciaires.

« Aujourd’hui, l’arme dite du « contrebandier » est dans une boîte, emballée, et j’ai la signature du procureur dessus pour prouver que tout est en ordre. Avec un peu de chance, avec cette signature, elle prendra de la valeur, plaisante le collectionneur d’objets rares ou insolites. Depuis, on m’a proposé un autre pistolet du XVIIIe siècle, mais c’est tout.

 
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