Valentina Claret / Panoramique / Valentina Claret / Valentina Claret / Panoramique / Valentina Claret
Les belles performances de Chotard et Mohamed, les erreurs de Coco et Mincarelli. Découvrez ce qui a retenu l’attention de la rédaction lors du match nul entre Montpellier et Nantes (1-1).
HAUTS
Mostafa Mohamed dans les bons coups
Certes il n’a plus marqué depuis quatre matches, mais l’Egyptien a été décisif vendredi, lors du match nul entre « son » FC Nantes et Montpellier (1-1), à la Mosson. Sa récupération et son service pour Abline sont à l’origine du but nantais (7e). Son timing de la tête aurait pu faire mouche si Benjamin Lecomte n’avait pas réalisé un magnifique arrêt (41e). Il est encore tout près d’offrir une belle occasion de but à son équipe à la 55e minute. Remplacé par Comert à la 75e.
Chotard, cœur du jeu montpelliérain
En concurrence avec Jordan Ferri au milieu de terrain, Chotard semble avoir pris le dessus sur son camarade. Il était dans toutes les combinaisons, que ce soit avec Nordin ou avec Adams. Accessible, elle fut un véritable « hub » pour les Héraultais. Si Akor Adams lui avait logiquement laissé le ballon (17e), le match aurait peut-être pris une autre tournure. Remplacé par Ferri à la 69e.
flops
Mincarelli coule avec le temps
Les latéraux du MHSC réalisent une mauvaise seconde période. Les nombreux centres nantais se sont rangés à ses côtés. En attendant, il a laissé passer Mollet devant lui pour reprendre un ballon du genou qui aurait pu donner l’avantage à Nantes (68e). Dépassé par la rapidité de Traoré sur une passe de Moutoussamy, il est expulsé pour avoir brisé une action de but limpide dans le temps additionnel (90+1).
Marcus Coco n’a pas convaincu
Titulaire à la place de Douglas Augusto, blessé, Marcus Coco n’a pas eu l’impact offensif qu’on aurait souhaité voir. Hormis sa passe pour Mohamed (55e), il n’a pas virevolté comme son homologue Abline de l’autre côté. Pire, il a failli donner un ballon de but à Montpellier en ratant complètement une relance (55e) qui a provoqué la colère d’Antoine Kombouaré.
