L’hégémonie des marques privées (marques privées)
La bataille du pouvoir d’achat fait rage dans les allées de nos supermarchés, et un champion inattendu se dessine : les marques distributeurs (private labels). Ces produits, arborant fièrement les couleurs des marques, conquièrent les rayons à une vitesse fulgurante. Pâturages, Monique Ranou, Reflets de France… Ces noms vous sont familiers ? Ils représentent désormais plus d’un tiers des articles vendus en grande surface.
La ferveur des grandes chaînes pour leurs propres marques ne cesse de croître. Carrefour vise de manière ambitieuse 40 % de ses ventes en marque distributeur d’ici 2026, tandis qu’Auchan rêve d’atteindre la barre des 50 %. Quant aux discounters comme Lidl et Aldi, leur success story repose sur un modèle où 80% des produits sont estampillés de leur marque !
Mais que se cache-t-il derrière ces étiquettes attractives promettant des économies de l’ordre de 30 % par rapport aux grandes marques ? Capital a mené l’enquête pour percer les secrets de fabrication de ces produits qui boostent votre pouvoir d’achat.
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Formats XXL, vraie ou fausse bonne affaire ?
Dans le même ordre d’idées, le phénomène des formats XXL et des achats groupés fait son grand retour. Céréales en quantités astronomiques, chips en lots « 4+1 offerts », promotions alléchantes sur le jambon… Ces offres se multiplient, avec la promesse de baisser le prix au kilo. Mais attention aux sirènes du maxi-format ! Quels sont les vrais bons plans et les pièges à éviter ?
L’injustice des différences de prix
Enfin, préparez-vous à une révélation inquiétante : en matière de prix, nous sommes loin de tous égaux. Selon l’endroit où vous habitez, le coût de vos courses peut varier de un à deux ! Capital a enquêté sur ces différences de prix injustes qui peuvent créer un trou de 1 300 euros par an dans votre budget pour un même panier.
Qui sont responsables de ces inégalités territoriales ? Comment sont concrètement fixés les prix ? Vous seriez surpris d’apprendre à quel point chacun de vos mouvements est scruté par les fabricants et les commerçants. Revenus, situation professionnelle, composition familiale… Tout est analysé pour ajuster les prix à la hausse… ou à la baisse !
