La génération Z ne veut plus être salariée à la faveur de ce statut, découvrez

La génération Z ne veut plus être salariée à la faveur de ce statut, découvrez
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La génération Z semble moins privilégier le travail salarié et s’oriente davantage vers le travail indépendant, suite à une quête de liberté et d’indépendance. Quels sont les facteurs qui contribuent à ce choix ?

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Un désir d’indépendance

L’indépendance semble être le principal moteur de cette réalité, comme le démontre une étude menée par le cabinet de recherche indépendant Censuswide pour Fiverr. Selon cette enquête, réalisée auprès de 10 033 individus de la génération Z principalement aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne et en France, 72 % des jeunes envisagent une carrière de travailleur indépendant.

En effet, se dégage le portrait de jeunes générations souhaitant mettre à profit leur créativité et leur capacité d’innovation. 32% des personnes interrogées voient le métier d’indépendant comme une opportunité de créer sa propre entreprise et de maîtriser sa vie professionnelle, sans avoir à répondre à une hiérarchie imposée.

Motivations financières et professionnelles

Outre la liberté et l’indépendance, la possibilité d’augmenter ses revenus motive également la génération Z à se tourner vers le freelancing. En effet, 40 % des personnes interrogées perçoivent cette forme de travail comme un moyen de diversifier ou d’augmenter leurs sources de revenus.

Cependant, ce n’est pas seulement l’aspect financier qui pousse cette génération vers l’entrepreneuriat. 25,5% définissent le travail indépendant comme une opportunité d’acquérir de nouvelles compétences et d’élargir leurs horizons professionnels. Travailler en freelance est donc aussi un moyen d’améliorer et de diversifier ses compétences dans divers domaines tout en restant actif sur le marché du travail.

Et si le salaire n’était plus une priorité ?

Avec une plus grande volonté d’atteindre un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, pour ces jeunes, le salaire semble relégué au second plan. Même si le revenu joue un rôle important, 43% soulignent la possibilité d’établir leur propre routine et habitudes de travail, démontrant ainsi leur quête de flexibilité.

Par ailleurs, l’alignement sur leurs valeurs et l’indépendance sont également des critères majeurs pour 29% et 26% des sondés. Dans une société en constante évolution, cette génération souhaite aligner ses valeurs personnelles avec sa vie professionnelle, le freelancing apparaissant comme une solution idéale pour atteindre cet objectif.

Les chiffres le confirment : un salaire compétitif et transparent n’est plus une priorité pour cette génération. Pour eux, la priorité est de pouvoir concilier leur vie personnelle et leur vie professionnelle. A travers ces chiffres, on peut se demander si la Gen Z donnerait finalement la priorité à son bien-être personnel plutôt qu’à l’accumulation de richesses ?

Adieu l’emploi, bonjour l’entrepreneuriat ?

Face à ce mouvement, il semble que la génération Z change les contours du travail vers plus d’autonomie et d’indépendance, positionnant le travail indépendant comme une option de carrière viable. Pour autant, s’agit-il d’un choix par défaut dû à l’évolution du marché du travail ou à une réelle volonté d’être indépendant et entrepreneurial ? Il reste cependant clair que cette génération est en train de changer le monde du travail tel que nous le connaissons. Et vous, considéreriez-vous le freelancing comme une solution viable et durable pour votre avenir professionnel ?

 
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