Que s’est-il passé samedi 9 mars pour que Camille Marchetti se retrouve sur une propriété privée située sur les hauteurs de Saint-Aygulf puis y meure ?
De nombreuses zones d’ombre persistent après la découverte du corps du jeune Fréjusien, mais l’autopsie (qui sera réalisée à l’institut médico-légal de Nice lundi 29 avril) permettra peut-être d’éclairer une partie des événements.
Retrouvée sur la terrasse d’une résidence secondaire, Camille s’est-elle mise à l’abri des intempéries alors que le violent épisode méditerranéen balayant le Var était à son paroxysme ?
Un état dépressif ?
Si tel est le cas, pourquoi n’a-t-il pas cherché refuge chez son grand-père, voire dans sa propre maison, tous deux situés dans le même quartier ?
Enfin, si Camille ne présentait pas, a priori, de troubles psychologiques, un état dépressif ne peut être exclu, comme le démontrerait un potentiel traitement à base d’antidépresseurs. L’a-t-il pris en même temps que de l’alcool, créant un mélange malheureux ?
Autant de questions auxquelles la présente enquête tentera de répondre à la lumière, notamment, des résultats de cette autopsie.