Top 5 des moments de la NASA en 2017

Top 5 des moments de la NASA en 2017
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Cette illustration montre les sept planètes TRAPPIST-1 telles qu’elles pourraient être vues de la Terre à l’aide d’un télescope fictif incroyablement puissant. Les tailles et les positions relatives sont correctement à l’échelle : il s’agit d’un système planétaire si petit que son soleil, TRAPPIST-1, n’est pas beaucoup plus grand que notre planète Jupiter, et toutes les planètes sont très proches de la taille de la Terre. Leurs orbites se situent toutes bien dans ce qui, dans notre système solaire, serait la distance orbitale de notre planète la plus intérieure, Mercure. Avec des orbites aussi petites, les planètes TRAPPIST-1 complètent une « année » en quelques jours terrestres : 1,5 pour la planète la plus intérieure, TRAPPIST-1b, et 20 pour la planète la plus externe, TRAPPIST-1h. Cet arrangement particulier de planètes à double transit reflète une configuration réelle du système au cours des 21 jours d’observations effectuées par le télescope spatial Spitzer de la NASA fin 2016. Le système a été révélé grâce aux observations du télescope spatial Spitzer de la NASA et du télescope spatial au sol. Télescope TRAPPIST (TRansiting Planets and PlanetesImals Small Telescope), ainsi que d’autres observatoires au sol. Le système doit son nom au télescope TRAPPIST. Le Jet Propulsion Laboratory de la NASA, à Pasadena, en Californie, gère la mission du télescope spatial Spitzer pour le compte de la Direction des missions scientifiques de la NASA, à Washington. Les opérations scientifiques sont menées au Spitzer Science Center de Caltech à Pasadena. Les opérations des engins spatiaux sont basées à Lockheed Martin Space Systems Company, Littleton, Colorado. Les données sont archivées dans les archives scientifiques infrarouges hébergées à Caltech/IPAC. Caltech gère le JPL pour la NASA.

NASA/JPL-Caltech

 
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