L’enquête a parlé : on connaît désormais avec certitude les causes du décès du jeune acteur de Plus Belle La Vie Marwan Berreni.
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Fin de l’enquête. La mort de Marwan Berreni est officiellement expliquée. Ce qui s’est passé ? Retour sur cette affaire qui a marqué les Français ces derniers mois. Tout commence en août 2023. Par une chaude soirée, Marwan Berreni aurait violemment frappé une jeune femme Homme de 37 ans qui promenait son chien avec son véhicule, un 4X4.
Qu’est-il arrivé à Marwan Berreni ?
L’acteur de Plus Belle La Vue sortait visiblement d’une discothèque à Macôn. Après l’accident, il a pris la fuite, abandonnant sa voiture un peu plus loin. A partir de ce moment, Marwan Berreni a disparu. Où est-il ? Les enquêteurs fouillent sans relâche, ses confrères de France Télévisions multiplient les messages, inquiets.
Finalement, le corps du jeune homme a été retrouvé dans une maison abandonnée à Corcelles-en-Beaujolais, dans le Rhône, le 12 octobre 2023. Ses papiers étaient présents sur place mais il a fallu attendre une semaine pour que les experts officialisent. leur découverte. Une annonce qui a plongé les fans de PBLV dans le désarroi complet. Comment est-il décédé ? Rapidement, la théorie du suicide est avancée.
La cause de la mort de Marwan Berreni révélée
Et après plusieurs mois d’investigation, cette thèse de suicide par pendaison a été confirmé par les spécialistes. “Les constatations faites lors de l’autopsie sont compatibles avec une mort violente par pendaison”, sans aucun élément permettant de soupçonner l’intervention d’un tiers“, a expliqué la procureure de la République Laëtitia Francart. Une information révélée ce vendredi 19 avril par Progrès.
Marwan Berreni s’est donc suicidé quelques jours après sa disparition. L’autopsie disait : “Il n’y avait aucune substance médicinale ou narcotique”. Et l’alcool ? “Les prélèvements ne nous ont pas permis de rechercher la présence d’alcool”. Face à ces nouvelles révélations et à l’absence d’effraction, l’enquête, classée sans suite, est désormais close.
Source : Le Progrès