« Ma première mesure si j’étais au pouvoir serait… que les athlètes professionnels emportent avec eux leur ancienneté dans leur deuxième carrière » – .

« Ma première mesure si j’étais au pouvoir serait… que les athlètes professionnels emportent avec eux leur ancienneté dans leur deuxième carrière » – .
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Si Dominique Monami recevait les clés du pouvoir le soir des élections, elle serait tentée de repartir d’une page blanche. Conserver la richesse de notre histoire tout en effectuant un changement radical. L’ancienne neuvième meilleure joueuse de tennis mondiale débuterait son action dans le monde sportif. Celui qui a succédé à Sabine Appelmans avait ouvert la voie au duo Hénin-Clijsters. Elle restera dans l’histoire comme la première Belge à être entrée dans le Top 10 de la WTA. Elle a remporté quatre titres, une médaille olympique en double à Sydney en 2000 et un prix de deux millions d’euros. Ce chapitre de 10 ans a marqué l’histoire du sport belge. “Cependant, l’entreprise belge ne considérait pas que je travaillais depuis 10 ans. », commence Dominique Monami qui va à l’essentiel. “Si j’étais à la tête du pays, je veillerais à ce que les athlètes professionnels embarquent leur ancienneté avec eux dans leur deuxième carrière.

« Ma première étape si j’étais au pouvoir serait… d’établir un cours obligatoire d’éducation non-violente »

Autrement dit, selon l’État, Dominique Monami n’a pas travaillé entre 18 et 28 ans.Après avoir terminé mes études, j’ai immédiatement commencé ma vie sur le circuit WTA. J’ai travaillé pendant une décennie. Si je prends mon cas, j’ai commencé à payer les cotisations sociales et mes impôts à l’âge de 18 ans. Or, à 28 ans, je suis reparti de zéro. Prendre sa retraite ressemble déjà à un petit deuil. Alors autant éviter de compliquer un peu plus cette période.»

Au gouvernement, elle se battrait alors pour d’autres sportifs. En effet, l’ancien champion s’est reconverti en indépendant. “Cette ancienneté ne m’aiderait pas, mais je pense à tous ceux qui sont sous contrat avec un club ou avec l’Adeps ou Sport Vlaanderen. Ce contrat démontre qu’ils sont employés », poursuit l’intervenante en affaires depuis 2004. Elle cible les sports moins médiatisés et qui n’impliquent pas des sommes folles. Sa réflexion relance le débat sur le statut des sportifs de haut niveau en Belgique. “Le football reste un sport à part. La F1 aussi. Les médias jouent un grand rôle. Les joueurs de volley-ball, de basket-ball, de hockey et bien d’autres perçoivent une rémunération qui ne leur permet pas d’être rentiers à la fin de leur retraite sportive. Cette ancienneté les aiderait dans la vie.

Soucieuse de préparer son avenir, elle avait cotisé à une pension de la WTA. “Si vous payez 7 % de votre prix et que vous apparaissez dans le top 100 pendant cinq ans, vous recevez une pension.

 
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