Le compte à rebours pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 a commencé. Cent jours avant l’arrivée de la flamme à Paris, Omega, l’un des partenaires privilégiés de l’événement sportif, vient de dévoiler deux nouvelles versions de son modèle Speedmaster Chronoscope, dont une montre habillée d’or 18 carats.
La montre de 43 mm risque de s’imposer comme l’un des accessoires les plus luxueux de l’événement quadriennal. En plus de ses éléments en céramique noire et de ses détails en nacre, le cadran blanc opale se pare de deux sous-compteurs noirs et texturés à 3 et 9 heures. Le garde-temps Omega se distingue notamment par l’organisation dite en « escargot » de ses compteurs. Très populaire dans les années 40, ce type de cadran présente trois rangées de chemins de fer : un tachymètre sur la lunette ; un pulsomètre entoure les compteurs ; et un télémètre (qui mesure, par exemple, la distance approximative d’un éclair depuis le son qu’il produit jusqu’au moment où il apparaît). Les imposants index en chiffres arabes situés plus au centre que d’habitude accentuent l’aspect spiralé de l’ensemble. L’hommage aux Jeux Olympiques de Paris 2024 se poursuit au dos de la montre où son fond givré présente une inscription « Paris 2024 » accompagnée du drapeau olympique.
© Oméga
Comme souvent chez Omega, le cœur de la montre bat au rythme d’un mouvement coaxial (qui tourne autour d’un seul axe), démocratisé en 1999 par la marque sur une idée de l’horloger anglais George Daniels. Ce type de mouvement limite l’usure du calibre et rend les garde-temps mécaniques encore plus durables.
La Speedmaster Chronoscope Moonshine avec bracelet en cuir (36 000 euros) ou bracelet en or (56 000 euros) est disponible sur omegawatches.com.
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