“C’est comme si une partie de moi avait disparu.” – .

“C’est comme si une partie de moi avait disparu.” – .
Descriptive text here

Dans un entretien accordé à nos confrères de l’APS, le milieu de terrain sénégalais Cheikhou Kouyaté a évoqué le décès de son père survenu en pleine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Côte d’Ivoire 2023.

« J’ai ressenti la mort de mon père bien avant qu’on me l’annonce, car 24 heures avant, j’avais des frissons. J’avais un froid glacial. A l’entraînement, Gana et mes coéquipiers m’ont taquiné sur le fait que je m’étais habillé en mode hiver alors qu’il faisait très chaud à Yamoussoukro” s’est-il confié dans un entretien à l’APS.

→ LIRE AUSSI : Concert de pot : Ousmane Sonko a-t-il inspiré l’opposition togolaise ?

« Je leur ai fait comprendre que j’avais froid, mais ils ont continué à me taquiner. Une fois à l’hôtel, j’ai répété à Gana que mon corps était lourd et que ça n’allait pas. C’est comme si je commençais à attraper la grippe. Quelques heures plus tard, ils m’ont appelé pour m’annoncer la nouvelle. a déclaré l’international sénégalais.

Cheikh Kouyaté a reconnu avoir eu peur suite à cette terrible annonce. ” Pourquoi avais-je peur ? Tout simplement parce que je me suis dit qu’il y avait une partie de moi qui avait disparu. Je me tournai vers Idrissa Guèye et lui dis : Louange à Allah, l’Unique. il expliqua.

→ LIRE AUSSI : Urgent : Le communiqué du Conseil des Ministres de ce mercredi 17 avril 2024

« Dans l’immédiat, Idy [Gana Guèye] m’a dit qu’une partie de toi est partie, c’est difficile de perdre un parent, mais il faut compter sur Dieu. Il m’a fait reprendre mes esprits pour accepter” Face à la situation, il a parlé du soutien de son coéquipier du milieu de terrain des Lions qui l’a aidé à tout remettre à Dieu, selon lui.

→ LIRE AUSSI : Absence de Mimi Touré et Cie au Gouvernement, de nouveaux détails tombent

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV ce que nous savons de la contre-proposition de trêve israélienne
NEXT Les JO de Paris, une opportunité en or pour le progrès social ? – Libération – .