Les cambriolages sont un véritable fléau. Les malfrats semblent s’en prendre aux célébrités depuis plusieurs mois. En octobre 2022, trois hommes pénètrent au domicile héraultais d’Audrey Lamy alors qu’elle était en tournage. Les voleurs ont été jugés en avril. L’actrice a refusé de porter plainte contre eux et Public en a dévoilé les raisons ce vendredi 12 avril 2024.
Rentre chez toi et trouvez votre logement à l’envers. C’est la peur de tout le monde. Les cambrioleurs peuvent également opérer lorsque les occupants sont présents. Un épisode traumatisant, que Bruno Guillon et sa famille connaissaient. L’animateur radio, bouleversé, a fondu en larmes en évoquant leur confinement et sa peur pour sa femme et leur fils. La chanteuse Vitaa a elle aussi été victime d’une scène glaçante.
Cette nuit la plus éprouvante est heureusement un mauvais souvenir : personne n’a été blessé, et la complice de Slimane a pu profiter de vacances bien méritées pour se ressourcer en famille. Il y a presque deux ans, c’était l’actrice Audrey Lamy victime d’un cambriolage. La scène s’est déroulée en octobre 2022. La sœur d’Alexandra Lamy était alors en plein tournage, à des centaines de kilomètres de son domicile situé dans le sud de la France.
Audrey Lamy a préféré écouter son cœur dans cette affaire
C’est sa gouvernante qui l’a contactée pour l’informer. Le bilan du cambriolage a été assez lourd, avec 18 200 € de dommages et intérêts, y compris le vol de bijoux et de sacs à main de créateurs. Cependant, le participant de MDR, celui qui rit sort avait refusé de porter plainte contre les trois individus. Ce vendredi 12 avril 2024, Public a expliqué ce choix. Selon nos confrères, Audrey Lamy aurait été “touché au coeur“ après avoir appris que les suspects étaient des hommes d’origine italo-bosniaque, en situation irrégulière.
L’actrice “j’aurais préféré laisser couler“ au lieu d’ajouter des accusations à l’affaire. Le procès des trois malfrats s’est tenu ce mercredi 3 avril 2024. Absente, Audrey Lamy avait choisi de ne pas se faire représenter. Le parquet, qui a pris ses propres mesures, a libéré deux hommes et condamné le troisième à un an de prison, dont 10 ans d’interdiction de séjour sur le territoire français. Le chapitre est clos.
