Et la farce grotesque continue.
Et Israël est, à juste titre, revenu à la « table » des négociations.
Et les terroristes ont déclaré pour la énième fois qu’ils « examinaient » le « deal » et qu’ils « donneraient leur réponse ».
Et la réponse est venue.
Quitte à se répéter : mais comment diable les livres d’histoire raconteront-ils « la chose » demain ? Cette imposture ubuesque.
Les terroristes ont affirmé « ne pas pouvoir satisfaire à la demande israélienne de libérer 40 otages vivants, parmi lesquels des femmes, des civils ou des soldats, des personnes âgées ou des malades », car ils ne les « auraient pas ».
Le groupe terroriste déclare que pour atteindre ce nombre de « 40 », première phase d’un hypothétique accord, il lui faudrait libérer des soldats israéliens de sexe masculin, ce qu’il refuse catégoriquement.
Israël a annoncé samedi que, selon ses informations, 95 otages sont présumés vivants sur les 133 personnes encore détenues à Gaza.
La libération de 40 otages, femmes et personnes malades ou âgées, était l’une des conditions posées par Israël dans la première phase de l’accord, qui devait également conduire à un cessez-le-feu de six à huit semaines et à la libération de quelque 700 prisonniers palestiniens.
Sarah Cattan