18 millions de téléspectateurs ! Caitlin Clark, le phénomène du basket… qui fait mieux que Lebron et Curry

18 millions de téléspectateurs ! Caitlin Clark, le phénomène du basket… qui fait mieux que Lebron et Curry
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En parlant d’écran, le Clark-mania prend encore une autre tournure quand Carré final, opposant les quatre meilleures universités du pays. En demi-finale, et malgré un match de tir difficile (7/18), elle a contribué à la qualification de son équipe face au Connecticut (21 points, 9 rebonds, 7 passes).

Mais plus que le score (71-69), c’est le public du match qui ressort. Ce jour-là, 12,3 millions d’Américains étaient scotchés devant leur téléviseur. A titre de comparaison, seule la NFL atteint de telles audiences aux Etats-Unis. Clark et la NCAA font donc mieux que le baseball et mieux que… la NBA, puisqu’aucun match des Finales NBA 2023 n’avait atteint un tel score ! Incroyable…

Et le pire ? Ce n’est même pas encore fini. En finale, l’équipe de Caitlin Clark on s’incline, certes, face à la Caroline du Sud, mais du côté des chaînes de télé, on se frotte les mains. L’engouement est total et dépasse même les attentes pour ABC et ESPN. 18,7 millions de téléspectateurs en moyenne et un pic à 24 (!) millions, c’est du jamais vu pour un match de basket depuis 2019 ! LE James Lebron, Steph Curry et d’autres, Nikola Jokic peut donc aller s’habiller. Le phénomène du basket que tout le monde veut, et que tout le monde veut désormais voir jouer, est une femme et elle s’appelle Caitlin Clark.

A l’issue de cette 2e finale perdue consécutive, quelques larmes ont coulé sur le visage du jeune tireur, conscient d’avoir une nouvelle fois frôlé la montre en or. Mais très vite, elle reprend ses esprits et réalise le chemin parcouru. À 22 ans, elle a changé, presque à elle seule, la perception que certains avaient du basket féminin : « Que ce soit la façon dont les fans m’ont soutenu, la façon dont j’ai pu représenter l’État dans lequel j’ai grandi, la présence de ma famille à chaque match, il n’y a pas un seul regret dans mon esprit.“Je pourrai m’endormir tous les soirs, même si je ne gagne pas de championnat national.”

Cap maintenant sur la WNBA l’année prochaine. Une Ligue qui vibre déjà au son de Clark-mania, avant d’avoir posé un seul pied sur un parquet. La preuve, les billetsFièvre de l’Indianales franchises par lesquelles elle devrait être recrutée dans quelques semaines, s’arrachent déjà au prix fort.

On parle de prix allant jusqu’à 3 710 $ (pour une place au bord du parquet) pour son tout premier match à domicile. Preuve ultime que la Clark-mania a dépassé les simples frontières du basket féminin. Et que nous ne sommes, sans doute, qu’au début d’une carrière qui devrait, très vite, faire parler d’elle…

 
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