France-Belgique : “D’un jeu de copains, nous sommes allés à l’extrême inverse”

France-Belgique : “D’un jeu de copains, nous sommes allés à l’extrême inverse”
France-Belgique : “D’un jeu de copains, nous sommes allés à l’extrême inverse”

Un premier tournant dans cette relation France-Belgique qui en entraînera un second 24 ans plus tard, en 2018 près de Saint-Pétersbourg. « En France, si on joue l’Italie, l’Allemagne ou l’Angleterre et qu’on perd, on n’en fait pas tout un plat. C’est dans l’ordre des choses. Si on perd contre la Belgique, là ça les titille beaucoup plus. Mais ce qui met le feu en 2018, c’est la déclaration de Courtois après la demi-finale. Mais cette déclaration, si vous la relisez aujourd’hui, elle ne casse pas trois pattes. un canard. En plus, Didier Deschamps, qui ment comme un arracheur de dents, a dit la même chose trois jours plus tard. Il a dit que la Belgique était trop bonne et a obligé la France à jouer avec un bloc bas. Une deuxième fois, c’était son plan de jouer très bas et de laisser la possession à la Belgique. Hazard fera aussi des déclarations dans les journaux, les Français considèrent que les Belges sont de mauvais perdants et c’est du gâchis. en début de semaine. »

A tel point que les supporters belges célèbrent les nouvelles défaites françaises. «Lorsque la France a été éliminée par la Suisse à l’Euro 2020, les gens sont descendus dans les rues de Charleroi et de Bruxelles pour crier ‘vive la Suisse’, et ce n’étaient pas des Suisses. Ils ont même brûlé un drapeau français, ce qui était assez incroyable. »

« Belgique vs France, 120 ans de duels », un livre de Patrick Baragiol aux éditions Chronica

 
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