Federal 1-15e jour. Même s’il est originaire de Castres, Edwin a commencé à Revel où il a terminé toute son école de rugby, jusqu’aux cadets, avant d’être recruté par USA Perpignan où il est resté jusqu’aux juniors. À 18 ans, avec une double licence, il a joué au niveau fédéral avec nous Thuir. Un voyage d’entraînement qui construit des guerriers.
Près de 29 ans (il est né le 13 juin 1996), Edwin Péchard joue pour Ro Castelnaudary depuis six saisons maintenant. Il préfère s’exprimer par des actions plutôt que par des mots. Un combattant infatigable, il fait partie de cette catégorie de joueurs de troisième ligne qui ont mis la tête où certains n’oseraient même pas mettre les pieds. Il laisse le raisonnement aux autres. Dès qu’il est sur le terrain, il n’a qu’une seule préoccupation: se battre et se battre à nouveau.
Des points c’est tout!
Le temps n’est plus pour les calculs d’apothicaire pour le duo Julien Sidobre-Damien Pagès et leurs joueurs. Il est impératif de collecter des points tous les dimanches, ne serait-ce qu’un bonus défensif contre les très grandes équipes du groupe. Le 6 octobre à L’Isle-Jourdain, le ROC a été lourdement battu de 42 à 11 (le plus grand score concédé cette saison par le rouge et le blanc). Il est certain que cet après-midi soufflera sur le stade De Coubertin comme un air de vengeance. Prendre 40 pions est toujours difficile à digérer. Le besoin absolu de points et la soif de vengeance seront-ils suffisants pour faire en sorte que le Gersois se soit classé 3e du groupe à agenou?
Un formidable défenseur, il n’hésite pas à punir régulièrement les porteurs de balle opposés, bien sûr. «Tout ce qui se trouve à portée doit tomber», semble être son leitmotif. Volyle, avec une bonne taille, Edwin Péchard, peut jouer dans le n ° 6 comme dans le n ° 7, il peut aider en 8, et si l’équipe en a besoin, il est capable de descendre dans la cage sur la deuxième ligne.
-Ce dimanche après-midi à Castelnaudary, il entrera sur le terrain avec le numéro 6 sur le dos, certainement avec l’intention de donner à l’équipe de L’Isle-Jourdain, 3e du groupe, une période difficile.