ces sites très connus sont dans le collimateur des autorités pour les fermer

ces sites très connus sont dans le collimateur des autorités pour les fermer
ces sites très connus sont dans le collimateur des autorités pour les fermer

Outre les plateformes de streaming, le rapport identifie les intermédiaires indispensables à leur fonctionnement. Il s’agit notamment des registres et bureaux d’enregistrement de noms de domaine, des moteurs de recherche, des proxys inverses, ainsi que des hébergeurs et des processeurs de paiement.

Certains reviennent souvent dans les rapports des années précédentes, mais peu sont inclus dans la liste finale. L’USTR a ainsi écouté les remarques d’associations comme i2Coalition, qui souhaitent éviter d’élargir à l’excès la définition du piratage. Cette méthode permet de se concentrer sur les plateformes les plus actives et leurs principales infrastructures.

Les sites notoires mentionnés incluent des noms connus comme The Pirate Bay, 1337x et YTS. Ces plateformes, présentes sur la liste depuis plusieurs années, continuent de jouer un rôle central dans la diffusion de contenus piratés. D’autres noms incluent des cyberlockers tels que Krakenfiles et Rapidgator, ainsi que des sites de publication comme LibGen et Sci-Hub.

Enfin, de nouveaux entrants apparaissent dans la liste 2024. Parmi eux, on retrouve Fitgirl-Repacks, spécialisé dans les jeux compressés piratés, et le site de streaming Y2Mate, ajouté à la demande de la RIAA. Ces plateformes sont complétées par des services comme MagisTV et Hianime, qui remplacent les sites fermés lors des précédentes opérations.

 
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