Publié le 23 avril 2024 à 21h21 / Modifié le 23 avril 2024 à 21h26
Dans les années 1980, un groupe de pionniers français réunis au sein de l’Union pour la promotion de la propulsion photonique (U3P) propose d’organiser une course de la Terre à la Lune à la voile, idée empruntée à un nouveau d’Arthur C. Clarke, publié dans 1963. Et si le projet n’a toujours pas vu le jour, il cherchait aussi à rendre hommage à la brillante intuition de Jules Verne qui, dès 1865, écrivait dans De la Terre à la Lune: “Je vous demande s’il y a de quoi s’exciter, et n’est-il pas évident que tout cela sera un jour dépassé par des vitesses encore plus grandes, dont la lumière ou l’électricité seront probablement les agents mécaniques ?”
Dans son roman La planète des singesen 1963, Pierre Boulle décrivait également des voyages interplanétaires mimant l’épopée maritime des caravelles de Christophe Colomb : « Les fusées emportaient les touristes vers les sites prodigieux […]. Ils ont parcouru l’univers pour le plaisir – à la voile. Leur vaisseau était une sorte de sphère dont l’enveloppe – la voile – miraculeusement fine et légère, se déplaçait dans l’espace, poussée par la pression du rayonnement lumineux. Comment un tel exploit a-t-il pu être possible ?
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