l’éditorial du 27 janvier 2025

l’éditorial du 27 janvier 2025
l’éditorial du 27 janvier 2025

Alors que le tournoi des Six Nations commence le vendredi 31 janvier, les Blues sont très attendus dans cette édition. Avec un succès à la fin afin que cette génération DuPont puisse payer elle-même.

C’est l’un de ces événements dont nous ne nous lasserons jamais, un trésor qui constitue notre histoire et notre bonheur. Le tournoi des 6 nations arrive donc en personne, de vendredi à Saint-Denis avec cette inaugurale en , à partir desquelles nous nous attendons à de si grandes choses.

Pendant des semaines déjà, pour tenir la promesse, il y a eu des messages d’amis et de réseaux à la recherche de places. Ensuite, le communiqué de presse de Fabien Galthié qui a signalé la fin de l’hibernation, nous rappelant comment l’absence et le silence sont des armes à gérer avec prudence. Ensuite, les histoires «Insta» avec le son de la cornemuse et les notes de Flower of Scotland capturées l’année dernière, que nous avons hâte de revoir pour chavirer avec tous nos cœurs.

La magie fonctionne toujours, aucune offense aux prudents qui rêvent constamment de dépoussiérer le mammouth et de faire quelque chose de nouveau pour quelque chose de nouveau, à tout prix. Aidez-vous, le bonheur reste à portée de main sur le devant de la tradition.

Ce sera total, vous verrez, si la promesse sportive est à la hauteur de nos attentes. Avec le Dupont Blues que nous espérons maintenant être au meilleur de leur talent individuel et collectif. Parce que ce groupe porte certainement les moyens que seules les plus grandes générations utilisent pour se chauffer. Et parce que ce groupe, bien qu’il ait joué dans des clubs de Toulouse et de La Rochelle, n’a pas encore fait l’histoire au niveau international.

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Pour le comprendre, vous lirez dans ce journal toute la détermination de Thomas Ramos qui ne veut plus être satisfait du Grand Chelem de 2022: «Il est important d’avoir des ambitions. Nous voulons gagner le tournoi ». Le Flyhalf sait parfaitement bien où il va. Brilliant sur le terrain, légitime comme l’enfer, à nos yeux presque aussi indispensable que son ami Dupont, le Mazamétain en sert d’exemple. Il a maintenant l’intention d’écrire sa partie du succès, prenant les autres joueurs dans son sillage.

Le moment est venu pour notre XV français pour gagner autre chose qu’une série de matchs sans gloire à la fin. Et la question n’est pas seulement une question de résultats ou de gloire personnelle. Parce que c’est clairement la meilleure façon de durer, d’oublier les horreurs des nouvelles récentes (Tour to Australia), pour effacer la déception de la Coupe du monde 2023 et pour attendre l’Australie pour la Coupe du monde 2027.

En cas de nouveau tournoi à demi-fig (comme en 2024), tout pourrait être remis en question: les choix de l’entraîneur et ses plans, le crédit et les moyens qui lui sont accordés, ainsi que la confiance des clubs qui Donnez-lui des mains applaudissantes (non sans tousser). Fabien Galthié a récemment affirmé avoir «entendu l’injonction». Surtout, qu’il ait trouvé les clés de la performance pour faire de ce tournoi en 2025 un sommet que nous allons toujours nous lécher les lèvres dans dix ou vingt ans.

“Nous entendons l’injonction”, a récemment admis Fabien Galthié avant de retourner dans ses troupes.

 
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