“Avec le soutien du coach et de l’équipe, je peux faire encore mieux”

“Avec le soutien du coach et de l’équipe, je peux faire encore mieux”
“Avec le soutien du coach et de l’équipe, je peux faire encore mieux”
Ligue des champions : Nicky Hayen ne veut pas « spéculer sur un match nul » contre la Juventus

Il broie Vanaken

Depuis, l’ancien coach de La Gantoise a visiblement eu un avis bien différent : aujourd’hui, Jashari est le premier nom que Nicky Hayen choisit d’aligner derrière Hans Vanaken. Visiblement, personne n’était inquiet en interne. Il a fallu une période d’adaptation à l’ancien capitaine lucernois – la Super League suisse n’est pas la Jupiler Pro League. Ensuite, la fenêtre internationale de septembre, qui lui a permis de disputer deux matches en équipe nationale U21 (NDLR : il a déjà été inscrit dans les A pour la Coupe du monde 2022 et le dernier Euro), lui a fait beaucoup de bien. Dès son retour dans la Venise du Nord, le staff technique a analysé ces deux matches et lui a envoyé un message : ce n’est pas à lui de remplir toutes les fonctions dans l’entrejeu du Club.

Sa valeur a doublé depuis son arrivée à Bruges.

Plus leader par l’exemple que par la voix, Jashari, quant à lui, n’a grandi qu’au sein du onze de Hayen. Au point de devenir, aujourd’hui, le véritable moteur et patron de l’industrie – aux dépens de l’incohérent Raphaël Onyedika, avec qui il forme un excellent duo. Sa présence libère Vanaken de plusieurs tâches défensives et a également banni Hugo Vetlesen et Casper Nielsen sur le banc des remplaçants. Alors qu’il a été par le passé sur les radars de cinq clubs parmi les « grands » du championnat, le milieu de terrain figure déjà dans la colonne des bons choix de la direction brugeoise. Sa valeur est désormais estimée à 11 millions d’euros par Transfermarkt. En d’autres termes, en l’espace de six mois passés chez Jan Breydel, sa valeur a pratiquement doublé.

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Perçu comme arrogant en Suisse

« Si je peux faire encore mieux ? Avec le soutien du coach et de l’équipe, ouia expliqué Jashari ce lundi, avant d’affronter la Juventus en Ligue des Champions. Je grandis à chaque match. Mais ce n’est pas seulement le cas pour moi individuellement ; nous grandissons également en équipe. Notre séquence de 18 matchs sans défaite n’est pas due au hasard. Je suis très heureux d’avoir une bonne équipe autour de moi. Ils ont rendu les choses faciles. Après six mois, je suis satisfait de mes progrès.

En Suisse, Jashari est parfois perçu comme arrogant, notamment par la presse. “Je dis juste les choses telles qu’elles sontil a répondu à Journal. Certaines personnes peuvent avoir des difficultés avec cela. Les gens qui me connaissent savent que je suis un gars sympa.

Comme il a pu l’expliquer, ses parents viennent de Macédoine du Nord, mais sont albanais. «Bien sûr, je me sens aussi Suisseil a détaillé la semaine dernière. D’un autre côté, mes racines sont ce qu’elles sont. Je ne peux cacher que mes parents ne sont pas nés en Suisse et que je me sens tout aussi albanais. Est-ce que cela me vaudra des critiques en Suisse ? Je ne peux pas dire que je me sens 100% Suisse alors que mes parents sont albanais et que je me sens albanais ?

 
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