EXPOSITION – À Paris, une passionnante rétrospective retrace un siècle de péplums, de la naissance du genre à son déclin, en passant par son âge d’or.
Dans l’enceinte de la Fondation Pathé, à Paris, l’oeil est aimanté par l’impressionnant flotteur de Ben-Comment . Il trône majestueusement devant une immense affiche de l’épopée de 1959, signée William Wyler, avec Charlton Heston. Les deux commissaires de l’exposition « Antiquité et Cinéma », Pénélope Riboud-Seydoux et Stéphanie Salmon, précisent : « Cette pièce unique nous a été prêtée par le Musée Cinéma et Miniature de Lyon. Elle pèse presque 500 kg. Nous avons eu le plus grand mal à le faire entrer dans la pièce. »
L’idée d’orchestrer une exposition autour de l’Antiquité au cinéma remonte à plus d’un an, et Gladiateur II de Ridley Scott, sorti en novembre dernier, n’y est pour rien. « C’est une heureuse coïncidence, sourit Stéphanie Salmon. Parmi les déclencheurs, nous avons tenu à mettre en avant les trésors cinématographiques de la Compagnie Pathé, qui nous ont été confiés à partir de 2006. »
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