Entendus, vendredi 10 janvier, par la commission judiciaire de la Fédération française de Football (FFF), les dirigeants de l’Olympique Lyonnais entendaient contester l’interdiction de recruter et le contrôle de sa masse salariale qui leur ont été imposées en novembre 2024, par la Direction nationale. du Contrôle de Gestion (DNCG). Selon les informations de L’équipelequel Le monde est en mesure de le confirmer, ces sanctions ont été maintenues.
Le « rétrogradation par mesure conservatoire à la fin de la saison sportive en cours » du club, actuel 5e de Ligue 1, également tranché en première instance par la DNCG, n’a pas été concerné par le recours du club ce vendredi.
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés A l’Olympique Lyonnais, temporairement relégué, John Textor peine à sauver son club
Lire plus tard
Pour tenter d’influencer les instances du football français, l’OL a avancé le départ de son gardien Anthony Lopes pour Nantes, dont les économies significatives en salaires et charges permettent une réduction de la masse salariale, ainsi que les transferts de Jeffinho à Botafogo (Brésilien). L1) pour 5,3 millions d’euros et de Gift Orban à Hoffenheim (L1 allemande) pour 9 millions d’euros.
Cotation à la Bourse de New York
D’autres transferts de contrat sont également prévus d’ici fin janvier et le mercato d’hiver, tandis que l’Olympique Lyonnais disposera également de joueurs bien payés en fin de contrat en fin de saison comme Alexandre Lacazette et l’Argentin Nicolas Tagliafico. .
Enfin, la structure Eagle Football Holding, dont font partie l’OL, Botafogo (champion du Brésil) et Molenbeek (deuxième division belge), a annoncé, le 22 novembre 2024, avoir bouclé une première levée de fonds de 40 millions de dollars (38,5 millions d’euros). réalisée par UCEA Capital Partners, société basée à Londres.
Cet investissement s’inscrit dans le cadre d’un tour de table de 100 millions de dollars avant son introduction à la Bourse de New York, prévue au premier trimestre 2025.
Ces nouveaux éléments n’ont donc pas convaincu la commission d’appel de la Direction nationale du contrôle de gestion. En fin de saison, l’OL retrouvera la DNCG, qui validera ou non la relégation administrative du club en Ligue 2.