En 2024, de nombreux grands noms nationaux et étrangers ont raccroché les crampons. Ritchie De Laet a également décidé de mettre un terme à sa carrière professionnelle. Mais l’ancien défenseur continue de suivre de près son club, Anvers, et de manière assez fanatique.
À l’époque, De Laet avait débuté sa carrière professionnelle à Anvers. Mais il décide rapidement de partir à l’étranger. Il s’est retrouvé à Stoke City. Le transfert n’a pas été un grand succès, mais en 2009, il a obtenu un transfert de rêve à Manchester United.
Son séjour à Manchester n’a pas non plus été une réussite. Après quelques prêts, De Laet rejoint Leicester City.
Entraîneur et supporter des jeunes
Cela s’est avéré être une bonne décision. Avec les Foxes, il a disputé plus de 110 matchs. Par la suite, le Diable Rouge aux deux sélections a également été actif à Aston Villa et même en Australie, jusqu’à ce qu’il retourne finalement dans son pays natal.
En 2019, De Laet s’est à nouveau engagé avec Anvers, où il a été l’un des meilleurs défenseurs pendant de nombreuses années et a même aidé le club à remporter le titre national. Entre-temps, l’âge commençait à faire des ravages sur le plan physique.
En fin de saison dernière, le défenseur a donc décidé de mettre un terme à sa carrière professionnelle, tout en restant étroitement lié au club de son cœur. De Laet travaille donc actuellement comme entraîneur de jeunes chez Great Old. Il est d’ailleurs régulièrement présent en tant que spectateur dans les tribunes du Bosuil.
Dans les tribunes avec le noyau dur
Récemment, De Laet a même vécu un match à l’extérieur avec le noyau dur. Il s’est retrouvé soudainement dans la tribune des visiteurs lors du choc au Club de Bruges, son grand rival. Cette visite n’est pas passée inaperçue.
Des images ont fait surface sur les réseaux sociaux montrant De Laet défiant les supporters locaux avec des gestes obscènes. Dans une longue interview accordée à la Gazet van Antwerpen, l’ancien défenseur est revenu sur cet incident.
« Oui, je pensais que c’était possible. Les supporters du club ont eu cinq ans pour me lancer toutes les malédictions possibles. Le geste filmé a été réalisé dans le feu de l’action. Je l’admets : ce n’était pas ma décision la plus intelligente. J’ai rejoint le reste de notre section de supporters.