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Cet accident a coûté la vie à 17 personnes. (Photo d’archives)
Photo : Radio-Canada / Anne-Louise Michel
Un an après l’accident de Carberry qui a coûté la vie à 17 personnes, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) n’a toujours pas pu parler au conducteur de l’autobus impliqué dans l’accident. Ce dernier a subi des blessures graves qui ne lui ont pas permis de donner sa version des faits.
Là GRC a tout de même décidé de soumettre les preuves aux procureurs de la Couronne, qui pourront les examiner afin de porter d’éventuelles accusations.
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Rob Lasson, agent responsable de la Section des crimes majeurs, lors d’une conférence de presse. (Photo d’archives)
Photo : Radio-Canada / Gilbert Rowan
Lors d’une conférence de presse jeudi, le surintendant du GRC du Manitoba, Rob Lasson, a déclaré que les forces de l’ordre sont convaincues d’avoir suffisamment de preuves pour que les procureurs de la Couronne puissent prendre une décision éclairée.
L’enquête sur le GRC comprend des entretiens avec des survivants, une analyse des véhicules impliqués ainsi que des rapports médico-légaux.
La Couronne examinera la preuve et décidera de porter ou non des accusations.
Même s’il n’y a pas de calendrier précis, Rob Lasson s’attend à ce que les procureurs prennent une décision rapidement.
Même si la majorité des premiers répondants ayant participé à l’intervention sont retournés au travail, Rob Lasson soutient que certains d’entre eux ressentent encore les séquelles psychologiques de leur intervention. Il ajoute que le GRC suit cette situation de près.
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