canicule lors du meeting de Donald Trump, le Républicain veut revenir au plan Climat de Joe Biden

canicule lors du meeting de Donald Trump, le Républicain veut revenir au plan Climat de Joe Biden
canicule lors du meeting de Donald Trump, le Républicain veut revenir au plan Climat de Joe Biden

Après 11 hospitalisations à Phoenix, 24 personnes ont dû être soignées après avoir assisté au meeting de Donald Trump à Las Vegas sous une chaleur accablante. Le quotidien local, le Soleil de Las Vegas Alerte canicule : les températures dépasseront à nouveau les 40°C toute cette semaine à Las Vegas et dans d’autres villes du Nevada, un État de l’Ouest américain. Vingt-quatre personnes ont dû être soignées, voire hospitalisées, après avoir assisté dimanche au meeting de Donald Trump dans un parc peu ombragé, rapporte l’agence. Journal de revue de Las Vegas Et le magazine Newsweek. Même si les bénévoles ont distribué des bouteilles d’eau et proposé des tentes réfrigérées, la chaleur était accablante. « Il fait plus de 43°C, mais on n’en a pas l’impression donc on va rester ici encore un peu »a déclaré Donald Trump, après sept minutes de réunion à Las Vegas, dimanche, dans une vidéo notamment relayée par la télévision publique PBS. L’ancien président s’est finalement exprimé pendant un peu plus d’une heure. En costume bleu marine, sa célèbre casquette de baseball rouge « Make America great Again », vissée sur la tête, Donald Trump s’en est plaint. « transpirer comme un chien » et “Les services secrets s’en fichaient, ils s’inquiétaient davantage du public”, qui a assisté à cette réunion. Donald Trump a ajouté : « Je m’en fiche de toi. Je veux juste votre vote. Il a ensuite précisé qu’il plaisantait et que les médias lui en feraient des reproches. La semaine dernière, onze personnes ont été hospitalisées à Phoenix, en Arizona, indique la chaîne de télévision KNXV-TV Et Semaine d’actualités, après un nouveau meeting du candidat républicain dans des températures étouffantes.

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Donald Trump veut répondre au changement climatique par la dérégulation des secteurs pétroliers et gaziers, ou comment détricoter les mesures prises par Joe Biden Pour « réduire les émissions de gaz à effet de serre et les produits chimiques toxiques, préserver les terres et les eaux publiques », « des lacs glaciaires du Minnesota aux terres tribales arides du Nouveau-Mexique »noter la Gardienun journal britannique de gauche. « Les scientifiques affirment que les vagues de chaleur durent plus longtemps en raison de la crise climatique, principalement causée par la combustion de combustibles fossiles, mais Donald Trump s’est engagé à accélérer la production de pétrole et de gaz, déjà à des niveaux records, aux États-Unis. »précise Gardien dans un autre article. Joe Biden « a autorisé un développement pétrolier massif de 8 milliards de dollars en Alaska, connu sous le nom de projet Willow. Il a également accordé un permis crucial pour le pipeline Mountain Valley, un projet défendu par le sénateur Joe Manchin III, un démocrate occidental de Virginie, malgré l’opposition des experts climatiques et des groupes environnementaux. Le mois dernier, sans se laisser décourager par l’opposition des militants climatiques, l’administration Biden a également a approuvé un projet d’exportation de pétrole vers le Texas. connu sous le nom de terminal pétrolier du port maritime», énumère-t-il New York Times. Mais Donald Trump veut aller plus loin : le candidat républicain répète à chaque meeting ou presque, le mantra républicain “Perceuse, bébé, perceuse”notent le quotidien britannique et le Washington Post, ce qu’on pourrait traduire par “perceuse, bébé, perceuse”.

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L’ancien président a même demandé 1 milliard de dollars de dons de campagne aux dirigeants du secteur pétrolier et gazier.le 11 avril, à Mar-a-Lago, en Floride, a révélé le Washington Post et le New York Times.** S’il est élu en novembre prochain, Donald Trump a promis, aux patrons d’ExxonMobil notamment et de l’American Petroleum Institute, un lobby pro-pétrolier, une série d’avantages fiscaux mais aussi le en annulant toutes les règles environnementales qui, selon lui, entravent leur industrie. Clair : “Augmenter les forages pétroliers dans le golfe du Mexique, supprimer les obstacles au forage en Alaska et dans l’Arctique et annuler les nouvelles règles visant à réduire la pollution automobile”énumère les Gardien. Donald Trump a encore fait appel aux géants pétroliers le mois dernier, lors d’une visite au Texas, indique le Temps Financierrécolter 57 millions de dollars, non seulement pour la campagne électorale républicaine mais aussi pour “Sauvez l’Amérique, le principal groupe qui paie les avocats de Trump”.

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Le contraste, en matière de politique climatique, entre les deux candidats à l’élection présidentielle de novembre est on ne peut plus frappant, souligné le Washington Post et le New York Times. Joe Biden a qualifié le changement climatique de « menace existentielle » et a signé un projet de loi de 370 milliards de dollars pour développer les énergies propres et les véhicules électriques. Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche « pourrait ajouter 4 milliards de tonnes de gaz à effet de serre aux émissions américaines d’ici 2030 »selon Carbon Brief, média britannique spécialisé dans le changement climatique. Il pourrait aussi « décompresser les autres gouvernements de droite qui pourraient prendre des mesures similaires »rapporte le journal québécois -. « Les dangers du changement climatique n’ont pas fait réfléchir les partisans de Trump qui étouffaient à Las Vegas »déplore Gardien. “Cette chaleur sèche symbolise, pour le reste des Etats-Unis, que nous allons vivre un enfer pour élire Trump” a déclaré le président du Parti républicain du Nevada.

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«Est-ce que Donald Trump va bien»? LE Washington Post se demande, dans un éditorial qui est, à l’heure actuelle, le plus consulté sur le site du journal, si Donald Trump, 77 ans, « se porte bien » mentalement. Comparé à Joe Biden – le président démocrate de 81 ans qui a certes quelques oublis, mais « qui reste cohérent » selon le quotidien américain -, Donald Trump multiplie la logorrhée verbale qui est une « incontinence verbale » selon Washington Post. Dernier exemple, qui a également choqué la chaîne de télévision MSNBC, lors de son meeting de dimanche, le candidat républicain a raconté une anecdote sur un bateau dont la batterie électrique “serait si lourde qu’elle coulerait le bateau”, avec un risque d’électrocution ou d’affronter un requin. ce qui l’a amené à parler de sports qui incluraient les femmes et les hommes, puis d’immigration clandestine. “Son esprit vacille.”estime l’éditorialiste Washington Post.**

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Pays-Bas : un café-club propose de payer pour se déconnecter des téléphones portables et des réseaux sociaux

Il faut payer 7,50 € pour déposer son téléphone portable sur un plateau à l’entrée du café Brecht à Amsterdamsans compter la consommation donc, précise le quotidien d’Amsterdam Le Parool et le Gardiendont l’un des journalistes s’est rendu le mois dernier à “ce café à l’ancienne, des canapés moelleux, des œuvres d’art vintage, un éclairage chaleureux”. S’en est suivi, un dimanche matin, une « digital detox », organisée par le tout nouveau Offline Club. Les fondateurs, trois amis, proposent à leurs clients des séances de formation. « 45 minutes de temps pour soi »pour lire, tricoter, et des séances d’une demi-heure pour se connecter, non pas à son téléphone mais aux autres, précise le Le Parool et le Gardien, par exemple en jouant à des jeux de société ou en discutant avec des inconnus. Irène, une jeune femme de 25 ans, raconte Le Parool qu’elle se sentait oisive lorsque son petit ami allait aux toilettes. Elle n’avait qu’une envie, presque honteuse : aller sur Instagram.

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Incitation plus large à la déconnexion numérique : LE Gardien vous rappelle que le Offline Club n’est pas le seul groupe aux Pays-Bas à proposer de renoncer à votre téléphone portable. Le gouvernement néerlandais a d’ailleurs interdit, depuis le début de l’année, “Les étudiants âgés de 12 à 18 ans doivent utiliser leurs téléphones portables, tablettes et montres intelligentes pendant les heures de cours.” LE Gardien souligne également, comme le souligne le magazine britannique Positive News et le Le Parool, à Amsterdam, qu’il est assez ironique, voire paradoxal, de constater que le Offline Club a gagné des clients grâce… aux réseaux sociaux. Il compte près de 260 000 followers sur Instagram en quatre mois.

 
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