Sur le terrain, Haris Belkebla a fait le boulot. Titulaire 28 fois en 29 matches, l’ancien brestois a été l’un des artisans du maintien de l’Ohod Club (15e et premier non relégable sur 18) en deuxième division du championnat saoudien. Mais pour sa première expérience à l’étranger, le joueur formé à Valenciennes, passé par Tours (2014-2018) et Brest (2018-2023), âgé de 30 ans depuis le 28 janvier, vit une lutte en coulisses : il n’est plus payé. depuis décembre.
Pas de chèque fondateur
Le joueur pensait qu’un résultat positif serait trouvé. En vain. “ Il n’y a pas de problème. Nous sommes en contact avec le joueur, son agent, sa famille “, a déclaré le club, dans des propos rapportés par L’équipe . Belkebla a reçu en mars un chèque censé couvrir les dettes du club. Mais il était sans provisions. Une situation embarrassante, à laquelle s’ajoute une autre : le propriétaire de son logement de fonction saoudien se plaint ces dernières semaines de ne plus percevoir son loyer.
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Face au manque de salaire, l’ancien joueur de Brest a adressé une mise en demeure au club, signalant l’affaire à la Fifa. L’article 14 explique que « Si un club se trouvait dans l’illégalité en ne versant pas au moins deux salaires mensuels au joueur aux dates prévues, ce dernier serait alors considéré comme en droit de résilier son contrat. »
Le club débiteur, Ohod, dispose désormais de quinze jours pour honorer l’ensemble de ses obligations financières.
