Ski de fond. « No cut », armée, nouveaux équipements, Tignes… Jules Chappaz raconte son printemps animé

Ski de fond. « No cut », armée, nouveaux équipements, Tignes… Jules Chappaz raconte son printemps animé
Ski de fond. « No cut », armée, nouveaux équipements, Tignes… Jules Chappaz raconte son printemps animé

Jules Chappaz, médaillé mondial de sprint 2023, vient d’officialiser son changement d’équipementier de Salomon à Madshus. Le Cluse fait le point sur son printemps mouvementé avant de retrouver les Bleus pour l’entraînement lundi prochain à Tignes.

Hormis la première décade du mois de mai, où il faisait juste « un peu de sport » tout en s’occupant d’emménager dans un nouvel appartement, Jules Chappaz était très actif. « Je n’ai pris aucune pause », résume Cluse, qui a notamment passé tout le mois d’avril à skier en Norvège, deux semaines avec l’équipe TNE avec les courses Ski Classics, et deux autres semaines avec son équipe. famille et amis (dont Théo Schely). “J’y ai fait 1000 km mais c’était comme des vacances, c’est pour ça que j’aime aussi le sport”, explique “Tchoupe”, qui a affolé les compteurs d’entraînement pour franchir le cap des 1000 heures par an.

” Tout va bien “

En France, il a repris les bonnes habitudes en enchaînant les séances de ski à roulettes, de course à pied et de vélo. “Tout se passe bien”, assure l’homme fort, ralenti l’an dernier par une blessure au pouce, qui voulait éviter une reprise “trop ​​compliquée” en réduisant, donc quasiment à néant, la période d’inactivité. “Ça évite les petits bobos et la prise de poids”, assure le solide Aravis, dont la balance affiche déjà son poids idéal (“82-83 kg”).

Mardi dernier, il a retrouvé le collectif tricolore à Albertville, lors d’un premier regroupementt avec l’ascension du Col de Roselend le matin en skis à roulettes classiques et la musculation (au Comité de Savoie) l’après-midi, sous la houlette de Romain Hurtault, le préparateur physique. « Je n’aime toujours pas la musculation, c’est la seule activité que je fais pour la performance et non pour le plaisir. Mais je sais que je dois traverser ça… »

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Photo Madshus

« Pour commencer, avoir toute confiance en mon matériel »

«Je me sentais moins bien avec mes Salomon, surtout sur les distances classiques», explique celui qui avait toujours glissé avec la marque haut-savoyarde aux pieds. Mais nous avons eu des sprints difficiles en fin de saison. Le camion (de fartage de l’équipe de France) ne trouvait plus la solution. Après Falun, j’ai parlé avec Salomon. Puis, après deux semaines de réflexion, j’ai décidé de résilier mon contrat (qui durait encore deux ans, ndlr). »

Le Cluse a dû casser sa tirelire pour être libéré. En Norvège, il a testé les skis Rossignol pendant trois jours et Madshus pendant trois jours. Avant de se prononcer en faveur de la marque norvégienne. « J’avais discuté avec Renaud (Jay) et Admunsen (vainqueur de la Coupe du Monde sur cette marque). Je pense que cela conviendra à ma polyvalence. Il y a aussi la nouvelle chaussure développée avec la très innovante fixation Rottefella. J’ai trouvé une équipe très motivée. C’est un nouveau défi. Je veux démarrer en toute confiance dans mon matériel, comme c’est le cas depuis longtemps avec Salomon, qui fait du très bon travail. Même si je ne gagne pas d’argent au début, ce que je veux, c’est gagner des courses.

 
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