C’est désormais la principale cause de décès en… – .

Chaque accident de la route c’est un accident de trop. C’est donc une bonne chose que les derniers chiffres du police fédérale montrent que le nombre de morts sur les routes n’a jamais été aussi faible. On peut se tourner vers 2020, qui a naturellement enregistré un chiffre encore plus bas en raison de l’accalmie du trafic, mais c’était une exception.

Des voitures plus intelligentes, moins de morts sur les routes ?

En 2023, 483 personnes ont perdu la vie sur les routes, soit une diminution de 7 % par rapport à l’année précédente, et ce nombre n’a jamais été aussi bas. Même si cela équivaut toujours à une moyenne excessivement élevée de neuf par semaine. Si l’on considère les régions, Bruxelles enregistre la plus forte baisse (-64%), suivie de la Wallonie (-5%) et de la Flandre (-4%). Deux types d’usagers de la route sont plus souvent impliqués dans un accident de la route mortel : les cyclistes, dont le taux de mortalité en Flandre a même enregistré une augmentation de 13% en 2023, soit le taux le plus élevé depuis 20 ans. Les fourgonnettes entraînent une augmentation de 16 % du nombre de décès, tirée par le succès croissant du commerce électronique.

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Il est difficile de trouver une cause unique à cette tendance positive et de prédire si le déclin va se poursuivre. L’Institut pour la Sécurité Routière Vias cite comme explication des contrôles accrus des itinéraires et des règles plus strictes pour les marches. Mais il est également vrai que de plus en plus voitures intelligentes circuler dans la circulation et cela, grâce à des systèmes d’assistance tels que freinage d’urgence automatiquereconnaissance des piétons et leavertissement d’angle mortils contribuent à rendre la circulation plus sûre.

Le mobilier urbain en hausse selon les statistiques

Une autre étude, réalisée par l’organisation automobile Tournée, met en évidence un changement dans la cause des décès dans les accidents de voiture. Alors que les collisions frontales étaient autrefois la cause principale, le mobilier urbain est désormais la cause principale dans un quart des cas : arbres (23 %), bornes (20 %) puis barrières de sécurité (12 %). . Les structures fixes, comme les maisons ou les murs, sont responsables de décès dans 8 % des cas. Là encore, la technologie peut expliquer en partie ce phénomène. LE régulateur de vitesse actif, présent sur de plus en plus de voitures, ne peut détecter que les obstacles mobiles, mais pas les obstacles fixes. Dans ce cas, le conducteur doit toujours intervenir, comme indiqué dans les manuels de la marque.

Selon Vias, ces incidents concernent 3,5 fois plus de conducteurs ivres que le nombre total d’accidents.

Le tourisme soulève néanmoins la question de savoir s’il ne faut pas aborder l’aménagement paysager le long de la voie publique. Quand Ben Weyts (NV-A) était ministre des Transports, il avait déjà proposé d’abattre des arbres d’un diamètre supérieur à 10 centimètres. Mais les experts de la circulation soulignent qu’il s’agit de points de référence qui nous permettent de mieux juger de notre vitesse. Touring ne préconise pas cette solution extrême, mais une infrastructure plus « indulgente ». Il s’agit d’un plus grand nombre de barrières de sécurité qui protègent les arbres dans les zones accidentelles et de versions fermées qui ménagent les motocyclistes.

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