l’entraîneur qui n’a jamais signé malgré les négociations

l’entraîneur qui n’a jamais signé malgré les négociations
l’entraîneur qui n’a jamais signé malgré les négociations

Au Standard, la saison dernière, la direction a décidé d’appeler Ivan Leko pour remplacer Carl Hoefkens qui n’a pas réussi à obtenir les résultats escomptés.

Mais le nom de Sclessin circule régulièrement sans que les choses aboutissent. Un entraîneur qui sera présent ce samedi sur les bords de Meuse mais encore une fois sur le banc des visiteurs, qui voudra revenir avec trois points à prendre.

La première fois en 2012

C’est en 2012 que Felice Mazzù est mentionnée pour la première fois dans le Standard. A l’époque, Ron Jans avait été limogé et Liège cherchait quelqu’un qui pourrait permettre au club de pourvoir le poste souhaité.

A l’époque, l’entraîneur s’était dit prêt à poursuivre le dialogue ouvert par le Standard. « J’espérais un appel comme celui-ci depuis des années et c’est arrivé. C’est donc une grande fierté. Maintenant, il y a tellement de paramètres à gérer autour de cette chose », avait déclaré Mazzù à l’époque.

Des négociations controversées

À cette époque, les choses n’ont finalement pas fonctionné, comme elles le feraient plus tard. Deux ans plus tard, il est à nouveau recontacté, cette fois pour remplacer Guy Luzon. Mazzù se serait offert à ce moment-là et il fallait mettre fin à la polémique sur les contacts entre Bayat et Duchâtelet.

Plus près de chez nous, il y a la période où Mazzù arrive à Genk. Une fois la négociation conclue au bout d’un certain temps, le nom de l’entraîneur est revenu en circulation à Sclessin, sans que cela n’arrive non plus.

Au final, le car de Saint-Trond ne sera jamais arrivé à Sclessin et même s’il n’est jamais trop tard, pour le moment ce n’est pas du tout à l’ordre du jour. Sa priorité est de faire de son mieux avec les Canaris.

 
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