À Singapour, Daniel Ricciardo a disputé son tout dernier Grand Prix de F1 de la saison au volant des Racing Bulls. Si les raisons de cette expulsion restent diverses et variées, c’est avant tout l’avenir du jeune Liam Lawson qui a été priorisé. Explications.
Le 20 octobre prochain, lors du GP de Formule 1 des Etats-Unis, Daniel Ricciardo brillera par son absence. En effet, au lendemain du Grand Prix de F1 de Singapour, où il a terminé à la dernière place parmi les pilotes encore en course, l’Australien de 35 ans a vu son équipe, Racing Bulls, lui montrer la porte de sortie. Ces derniers jours, les têtes pensantes de Red Bull, Helmut Marko et Christian Horner, ont néanmoins laissé la porte entrouverte à Ricciardo. La suite d’une série pas tout à fait terminée.
Ricciardo rêvait de revenir chez Red Bull, avant de partir
On l’a répété à maintes reprises, plusieurs raisons ont poussé Red Bull à licencier Daniel Ricciardo. Un manque de performances, un avenir limité en raison de son âge relativement avancé, un salaire imposant, des raisons plus ou moins discutables qui ont été avancées à droite comme à gauche. Pourtant, celui qui a fait le bonheur de Red Bull entre 2014 et 2018 espérait un retour par la grande porte. Il se voyait même prendre la place de Sergio Pérez, voire de Max Verstappen en cas de départ du champion du monde. Cela n’arrivera pas. Mais une autre théorie a été avancée pour expliquer cette fin de collaboration. Et cela dépasse le simple statut de Ricciardo.
F1: Liam Lawson succède à Ricciardo chez Racing Bulls (Iconsport)
F1: Liam Lawson, approché par Sauber/Audi, promu en toute hâte ?
Selon Motorsport, au-delà de ce qui a été avancé ces derniers jours, la principale raison du départ précipité de Daniel Ricciardo après le Grand Prix de Singapour en est une autre. Ainsi, une clause a poussé Red Bull à offrir un siège à Liam Lawson pour 2025 avant fin septembre. Dans le cas contraire, il aurait été libéré de ses obligations. Sauber/Audi étant déjà venu au courant, la firme autrichienne a donc décidé d’accélérer le mouvement. Il faut dire aussi que les cinq courses du Néo-Zélandais la saison dernière avec Alpha Tauri augurent de très bonnes choses. On salive d’avance.
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