Des hausses marquées en Île-de-France
Le cœur de l’événement, l’Île-de-France, a vu ses prix médians exploser. À Montigny-le-Bretonneux, les prix des loyers ont augmenté de 136 %, tandis que Versailles a enregistré une hausse de 113 %.. Ces hausses sont particulièrement frappantes si l’on considère que l’étude Likibu.fr s’appuie sur des prix médians, reflétant ainsi une véritable inflation des coûts pour les visiteurs.
Ces augmentations des prix de location ne sont pas uniformes dans toute la région. Certaines zones, malgré leur proximité avec les sites de compétition, restent plus stablesce qui pourrait suggérer que l’emplacement précis et les commodités proposées jouent un rôle essentiel dans la détermination des prix.
Contrastes avec les autres villes hôtes
Contrairement à la région parisienne, des villes comme Nice, Bordeaux et Nantes affichent des hausses beaucoup plus modérées., avec des hausses respectives de seulement 4% et 13%. L’effet « Jeux Olympiques » semble donc très localisé, peut-être parce que ces villes accueillent moins d’événements, ou parce qu’elles sont moins réputées pour leur intérêt touristique. Les raisons de ces disparités résident également dans la capacité d’accueil initiale des villes, leur attractivité touristique habituelle et l’éloignement des sites olympiques.
