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« Pas besoin de crier partout et de faire tomber la ruche »

S’il n’y avait aucune raison de se séparer d’Olivier Dall’Oglio pour les dirigeants de l’ASSE après la défaite contre Nice, la question s’est posée toute la semaine chez les observateurs du Forez. Interrogé sur son environnement de travail, l’entraîneur stéphanois estime avoir pu travailler sereinement et avec sérénité.

La « fameuse question » est en ces termes queOlivier Dall’Oglio le sourire narquois a répondu une vingtaine de minutes après le début de sa conférence de presse à la question de son avenir à l’ASSE. Sans détour, l’entraîneur des Verts a répondu aux journalistes présents à L’Etrat vendredi midi avant le match du week-end face à Nantes : « Je n’ai pas réponse à tout mais je suis déterminé à mener cette mission jusqu’au bout, je suis ferme dans mes convictions, je sais où je peux emmener cette équipe, elle est capable de se maintenir. Aujourd’hui, il y a un objectif qui est de maintenir. On sait que ça va être compliqué, on voit que les équipes sorties de Ligue 2 sont à la traîne (ndlr, conférence de presse tenue avant la victoire d’Auxerre contre Brest). du temps et on nous donne le temps que je suis ici, je suis présent au club, on travaille main dans la main avec la direction, il n’y a pas de problème de ce côté-là.

Quelques minutes plus tôt, il avait déjà anticipé le sujet, évoquant l’ambiance de travail au Centre Robert-Herbin cette semaine après la correction reçue par l’ASSE contre Nice : « C’est quand même assez calme au sein du club, ça n’empêche pas tout le monde d’être occupé au travail. Nous devons voir ce que nous pouvons faire de plus en travaillant toute la journée à tous les niveaux, que ce soit les managers, le staff, pour mettre les joueurs dans les meilleures conditions possibles le week-end, nous avons tous travaillé ensemble là-dessus, vous savez Le club de football ressemble à une ruche, il n’y en a pas. pas besoin de crier dans tous les sens et de faire tomber la ruche après une défaite.

Nous sommes tous ensemble et nous n’avons pas fait ce qu’il fallait, moi en premier. J’ai été trop ambitieux contre Nice, je pensais qu’on pouvait résister à leur pression athlétique et leur tenir tête de cette façon mais c’était une erreur. Nous sommes tous dans le même bateau. Sur le plan mental, il faut être fort, il faut savoir se relever quand on tombe. Il y a un dicton qui dit : « tombe sept fois, relève-toi huit fois ». Dans notre cas, nous sommes tombés huit fois, nous devrons nous relever neuf fois. J’aime celui-là.

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