Guy Boucher : un entraîneur respecté et apprécié

Guy Boucher : un entraîneur respecté et apprécié
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Guy Boucher n’a pas perdu sa passion légendaire pour le hockey. Il suffit de le voir discuter avec les joueurs des Maple Leafs lors des entraînements ou les encourager avant le début de chaque période pour comprendre qu’il se soucie de leur réussite.

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Cette passion contagieuse et cette attitude positive font toujours partie de son ADN, même s’il n’est pas l’entraîneur-chef de l’équipe de Toronto.

UNE APPROCHE DIFFÉRENTE

Max Domi fait partie des joueurs qui semblent bénéficier de la présence de Guy Boucher à Toronto, puisqu’il se retrouve désormais sur le premier trio des Leafs. Au moins une fois par entraînement, les deux hommes discutent longuement. J’ai demandé à l’ancien attaquant du Canadien de me dire ce qu’il apprécie chez l’adjoint de Sheldon Keefe. « Son approche est vraiment unique auprès des joueurs. Je n’ai jamais vu un entraîneur qui s’adapte à la personnalité de chaque joueur. Il est très crédible car il a connu des succès en série [finale de conférence avec le Lightning et les Sénateurs] et les joueurs reconnaissent tous le travail qu’il fait. C’est un bourreau de travail. Il ne s’arrête jamais. Que ce soit dans l’avion, après les vols, il est toujours sur son ordinateur et il met beaucoup d’énergie à nous aider.

SON RÔLE

Guy Boucher est reconnu dans le monde du hockey comme un expert en avantage numérique. Il s’est fait un nom à cet égard au sein d’Équipe Canada junior en 2009 lorsqu’il a fait de cette équipe l’une des plus dangereuses avec l’avantage de l’homme. Depuis, sa réputation n’est plus à faire. J’ai demandé à Sheldon Keefe de me parler de l’impact de Guy Boucher depuis son arrivée à Toronto. « Nous avions besoin d’un nouveau regard dans notre équipe. Des gens qui voient les choses différemment. Nous recherchions Mike Van Ryn qui s’était imposé contre les Bruins lors de la finale 2019 avec les Blues. Dans le cas de Guy, sa responsabilité était de bâtir notre avantage numérique. L’objectif était de construire un avantage numérique construit spécifiquement pour la série. C’est ce sur quoi il travaille depuis le début et nous avons hâte de voir où cela nous mènera.

Avec un but sur six occasions jusqu’à présent, il semble que les choses vont dans la bonne direction, car chaque but avec l’avantage d’un homme a une plus grande valeur que, disons, pendant la saison.

SOUTIEN DE BRENDAN SHANAHAN

Guy Boucher s’est fait montrer la sortie à Ottawa il y a quatre ans. Il est également le dernier entraîneur-chef à avoir amené cette équipe dans la série. C’était en 2017 lorsque les Sénateurs avaient perdu en prolongation, lors du septième match de la finale de l’Association contre les Penguins.

Mais à cette époque, ce n’était pas à Ottawa que Guy Boucher devait travailler, mais à Toronto alors qu’il était littéralement à un cheveu d’être embauché par Brendan Shanahan et les Maple Leafs au poste d’entraîneur-chef en 2015. sur le point de s’installer, un homme nommé Mike Babcock a contacté Brendan Shanahan pour lui dire qu’il n’accepterait pas le poste à Buffalo et qu’il était prêt à accepter le poste avec les Leafs. Le reste appartient évidemment à l’histoire.

Évidemment, Brendan Shanahan n’a pas oublié Guy Boucher et a décidé de lui donner l’opportunité de revenir dans la LNH.

Cette opportunité n’est pas anodine. Être un ancien entraîneur-chef et travailler à Toronto a une grande valeur, car les projecteurs sont toujours braqués sur vous, peu importe qui vous êtes dans l’organisation.

Il a réussi à bâtir une très bonne relation avec les meilleurs joueurs de l’équipe, que ce soit Auston Matthews, Mitch Marner ou John Tavares, avec qui il a remporté l’or au Championnat mondial de hockey junior en 2009. On ne peut que lui souhaiter à tous le succès qu’il mérite, lui qui n’a pas perdu l’envie de redevenir entraîneur-chef de la LNH.

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